Le manque de places d’études n’est pas le problème

Le DKG voit également une autre vis de réglage qui, selon l’association, est jusqu’à présent restée inutilisée. La plus grande implication des professions non médicales dans la prise en charge des patients. Une initiative a été annoncée ici, dit Gaß : « Mais il est extrêmement discutable qu’elle aboutisse à quelque chose au cours de cette législature. »

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Les hôpitaux indiquent également clairement qu’ils sont d’accord avec Lauterbach dans la description du problème. De toute façon, le recrutement permanent de médecins étrangers n’est pas dans leur intérêt. «Les hôpitaux supportent parfois des coûts élevés pour le processus de recrutement et d’intégration», explique le patron du DKG. Les agences sollicitées sont rémunérées en conséquence pour leurs services, auxquels s’ajoutent les cours de langue, les frais bureaucratiques et, dans certaines circonstances, les dépenses supplémentaires telles que l’aide à la recherche d’un logement.