Dans cet article, intitulé “Le mariage du siècle 3 : des vacances un peu ratées sous le soleil des îles grecques”, on aborde la difficulté de faire lever la comédie coproduite par la compagnie de Tom Hanks et Rita Wilson, et qui manque cruellement de magie. La saga de la famille Portokalos, initiée par Nia Vardalos en 2002, ne pouvait pas se terminer avec le deuxième long métrage de 2016, qui était fort moyen. Une suite s’imposait donc. Cette suite raconte le décès de l’acteur Michael Constantine, père de Toula (Nia Vardalos) et de Nick (Louis Mandylor), qui décident de se rendre dans son village natal en Grèce pour des retrouvailles familiales. La mère, atteinte de démence, reste chez elle, pendant que le reste de la famille traverse l’Atlantique et une partie de la Méditerranée. Ils sont accueillis par Victory (Melina Kotselou), la maire du village. La famille part ensuite à la recherche des amis d’enfance du père, assiste à un mariage et fait une découverte surprenante. Cependant, sans l’enjeu émouvant et l’humour attendrissant du premier long métrage, et sans la chimie entre les deux acteurs principaux, John Corbett étant singulièrement peu présent, l’histoire ne mène nulle part. Malgré les superbes paysages, les maisons blanches et la visite d’un village touristique, le scénario se révèle vide. “Le mariage du siècle 3” ne parvient donc qu’à être une simple carte postale, sans plus.
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La Direction générale de la santé (DGS) a publié un communiqué contenant une série de recommandations sur
