Le Mexique exportera à nouveau les bovins vers les États-Unis à partir de cette semaine grâce à un protocole d’accord signé entre les deux pays. À la fin de l’année dernière, les exportations ont été annulées après la détection de plusieurs cas de myasis en bétail par la volée de ver balayante. L’accord signé entre les deux pays indique des mesures de contrôle plus strictes et réduit au minimum la quantité de veaux exportés par jour par la frontière. Sur environ 2 800 qui ont traversé pour chaque station de quarantaine à la frontière, maintenant seulement environ 500 par jour passeront. Au total, on estime qu’il y a environ 240 000 têtes d’arrêt de bétail à la frontière mexicaine.
Jusqu’à présent, il n’y a que deux marches de frontière autorisées: la quarantaine de San Jerónimo, à Chihuahua, et celle de Prieta et Nogales, à Sonora, qui devrait ouvrir ses portes ce vendredi. Cependant, il y a encore plusieurs points qui n’ont pas été autorisés et qui attendent qu’un nouvel accord reprenne les exportations, y compris la station de Piedras Negras, à Coahuila et l’État de Durango, qui attend que le pouvoir puisse supprimer votre Bovins de la gare d’Oginaga, à Chihuahua, dans les prochains jours.
Le premier lot de lotros qui est passé aux États-Unis à partir de trois unités de production de Chihuahua, «a déjà été traité avec une médecine antiparasite, puis inspecté par le personnel de Senasica et le service d’inspection pour la santé des animaux et des plantes (APHIS, pour son acronyme en anglais),, qui a autorisé son départ aux États-Unis d’Amérique », a déclaré mercredi le ministère de l’Agriculture dans un communiqué.
Le nouveau protocole créé entre le Département de l’Agriculture des États-Unis (USDA) et le ministère de l’Agriculture au Mexique établit des stylos en attente approuvés par l’USDA et avec des inspecteurs américains pour revoir les bovins avant le passage frontalier, il faut la détruire tous et vérifier les animaux au millimètre pour essayer de ne pas blesser. “Cela signifie que le processus ralentira pour nous et cela se traduit par moins de revenus”, explique Rogelio Soto, président de l’Union régionale d’élevage de Durango.
La volée Cochliomya Hominivorax C’est la cause de la peste de l’agrileur, un parasite qui se nourrit des tissus vivants de tout animal sanguin chaud – y compris les humains – et qui affecte principalement les bovins. En novembre dernier, plusieurs cas à Chiapas et Campeche, au sud du Mexique, ont fait sauter les alarmes. Les autorités américaines ont annulé les exportations et suspendu l’ensemble du secteur du bétail du pays qui a pu déplacer leurs animaux pendant plus de 70 jours. Soto estime que le blocus des trois derniers mois équivaut à un manque de revenus d’environ 312 millions de dollars pour les agriculteurs du Mexique.
Sonora, Chihuahua, Durango et Coahuila ont été parmi les entités les plus nuies à la clôture des exportations, mais aussi à d’autres États tels que Veracruz, Jalisco et Michoacán. Les organisations de bétail exigent du gouvernement mexicain la fermeture temporaire de la frontière avec le Guatemala et le Belize, les principaux projecteurs de la contrebande rouge dans le pays et la plaquette, très répandue en Amérique centrale. Au cours de la dernière année, le Panama, le Costa Rica, le Nicaragua, le Honduras et le Guatemala ont allumé des alarmes avec plus de 40 000 cas détectés, bien qu’ils pourraient en être bien plus.
Pour les problèmes causés par le ver de Barrenador, la menace tarifaire de Donald Trump est ajoutée aux produits d’origine mexicaine. Le gouvernement a obtenu un report d’un mois, mais le risque persiste. “Je le vois très mauvais parce que la nourriture ne devrait pas avoir de taxe supplémentaire”, explique Soto. L’agriculteur souligne que 70% de la viande produite à Durango doit exporter vers les États-Unis. “Si rien n’est fait à ce sujet, le plus de nettoyage serait le producteur”, dit-il.
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