Le ministère de l’Intérieur a récemment demandé une évaluation du taux d’absentéisme lors de l’Aïd al-Fitr dans certaines académies, ce qui a suscité l’indignation. Toutefois, la secrétaire d’État chargée de la citoyenneté, Sonia Backès, a affirmé qu’il n’y avait pas de « fichage » des élèves en fonction de leur confession. Certaines associations, syndicats et politiques ont critiqué cette initiative, la qualifiant de dérive islamophobe. Dans l’académie de Toulouse, la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) a demandé par courrier électronique aux chefs d’établissement de Toulouse de leur indiquer le nombre d’élèves absents le jour de l’Aïd al-Fitr, ce qui a été qualifié de « particulièrement choquant ». Des collègues AESH et agents se sont également vu refuser une autorisation d’absence. L’Union des Mosquées de France a demandé une enquête en bonne et due forme pour que les familles soient dûment informées et rassurées sur le devenir des informations données par certains chefs d’établissements ayant répondu à la sollicitation des policiers.
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