Environ 200 Israéliens ont été testés positifs au variant JN.1 du coronavirus (COVID-19), a rapporté lundi 1er janvier le quotidien en langue hébraïque Maariv. Au cours des dernières semaines, la souche JN.1 s’est propagée rapidement à l’échelle mondiale.
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Comme mentionné dans le reportage, le ministère de la Santé a déclaré qu’Israël a connu une « légère augmentation des taux de morbidité… environ 200 cas de la sous-variante ont été enregistrés en Israël ».
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), basés aux États-Unis, ont émis le mois dernier un avertissement selon lequel la propagation rapide de la sous-variante pourrait obliger les hôpitaux américains à commencer à se préparer à un grand nombre d’hospitalisations.
La variante JN.1 a fait craindre un retour de la pandémie et, sur la base d’informations préliminaires, les experts ont déclaré que les vaccins disponibles étaient moins efficaces pour neutraliser la souche.
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L’OMS sur les crises sanitaires mondiales
Plus tôt cette semaine, le chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que le monde devait se préparer correctement aux futures pandémies après avoir finalement mis fin à trois années de « crise, de douleur et de perte » de Covid.
Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré dans son message de fin d’année que 2023 avait marqué un tournant dans la lutte contre des défis sanitaires majeurs, mais avait également apporté « des souffrances immenses et évitables ».
Tout en commentant la guerre entre Israël et le Hamas, Tedros a exhorté le monde à intensifier les efforts de secours pour la bande de Gaza et à conclure un accord « monumental » sur la pandémie pour combler les lacunes de préparation révélées pendant la pandémie.
Tedros a déclaré la fin du Covid en tant qu’urgence de santé publique internationale en mai. “Cela a marqué un tournant pour le monde après trois années de crise, de douleur et de perte pour les gens du monde entier. Je suis heureux de voir que la vie est revenue à la normale”, a-t-il rappelé dans un message vidéo.
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Tedros a déclaré qu’après 10 mois, l’OMS a également levé une urgence similaire concernant le mpox en mai 2023, tandis que l’agence sanitaire des Nations Unies a approuvé de nouveaux vaccins contre le paludisme, la dengue et la méningite. Dans le même temps, l’Azerbaïdjan, le Belize et le Tadjikistan ont été déclarés exempts de paludisme.
Tedros a également noté que les impacts du changement climatique sur la santé étaient au centre de la COP28, la dernière conférence annuelle des Nations Unies sur le climat qui s’est tenue il y a quelques semaines.
Cependant, « 2023 a également été une année de souffrances et de menaces pour la santé immenses et évitables », a-t-il ajouté.
(Avec la contribution des agences)
2024-01-01 19:34:43
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