Le courrier A n’est pas encore mort. Le ministre chargé de La Poste, Albert Rösti, n’a pas pu soumettre son projet de suppression au Conseil fédéral en séance hebdomadaire ce mercredi. Il a dû y renoncer, face aux résistances ou questionnements exprimés en amont par certains ministres. Des initiés n’hésitent pas à y voir un revers pour le magistrat UDC, avis (évidemment) relativisé par d’autres.
Pour apporter les clarifications souhaitées, une retraite pourrait être organisée entre les dirigeants du géant postal et l’ensemble du gouvernement, entend-on à Berne. Une méthode à laquelle Albert Rösti a déjà recouru avec une autre entreprise parapublique, le groupe audiovisuel SSR.
Sujet émotionnel
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