Le ministre de la Santé de Buenos Aires a prévenu que le pire moment de l’épidémie de dengue serait en avril

Le Ministre de la Santé de la Province de Buenos Aires, Nicolas Kreplak, prévoyait que dans En avril, l’épidémie de dengue atteindra son pic et cela en Amérique latine (et en Argentine en particulier), Nous vivons le pire moment de cette maladie.

Comme l’a expliqué le responsable à La découverte85 % des infections surviennent à domicile et l’avancée de l’épidémie est due à des conditions climatiques qui ne favorisent pas la réduction de la propagation du moustique vecteur.

« Nous connaissons la pire épidémie de dengue en Amérique latine et en Argentine en particulier », a-t-il déclaré. À propos le vaccin, a soutenu qu’il est “très sûr et a démontré son efficacité, surtout entre 4 et 60 ans. En outre, il a averti que ceux qui ont déjà souffert de la maladie ou qui ont des problèmes de santé préexistants courent un plus grand risque.

Concernant les campagnes de vaccination, il a indiqué que depuis le 21 mars, la vaccination a commencé à être appliquée dans toute la province de Buenos Aires. vaccin anti-grippe de manière échelonnée et les personnes âgées, les agents de santé et les femmes enceintes ont eu la priorité.

Selon les données du dernier Bulletin épidémiologique national, 102.898 cas ont été enregistrés dans 19 provinces. Si on le compare à la même période en 2023, cela se traduit par une multiplication par 11. Au cours de la saison 2023/2024, 79 décès dus à la dengue ont été enregistrés.

Les experts recommandent d’éliminer tous les récipients inutilisés susceptibles d’accumuler de l’eau, d’éviter la formation d’une flaque d’eau sur le dessus des pots, d’utiliser un répulsif adapté à votre âge et de porter des vêtements légers couvrant vos bras et vos jambes.

Vaccins et lien entre la Nation et la province

Le ministre a annoncé qu’un nouveau vaccin a été intégré au Calendrier National, un outil de prévention Virus respiratoire syncytial (VRS), C’est la bronchiolite qui est à l’origine de la plupart des bronchiolites, qui sont l’une des principales causes de mortalité infantile dans les premiers mois de la vie : « On compte 200 000 cas de bronchiolite par an. Dans la province, l’année dernière, nous avons eu plus de 90 décès d’enfants que nous avons pu éviter grâce à cette vaccination », a-t-il déploré.

D’un autre côté, Kreplak s’est dit préoccupé par le fardeau économique dans une situation critique. « Tout cela nécessite un énorme effort économique. Les vaccins sont fournis par la Nation, cela continue, mais toute la vaccination, la logistique, la distribution, nous le faisons dans la Province”, a-t-il précisé.

RB / Chien