le numéro en kiosque avec «Corriere» – Corriere.it

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2024-05-16 22:59:00

De SÉVÉVINO COLOMBO

Samedi 18 en kiosques avec notre journal le deuxième livre de Julia Donaldson et Axel Scheffler, le célèbre couple d’auteurs pour enfants. Inclusivité, sourires et esprit d’équipe : en volant sur le balai il y a de la place pour tout le monde

Qui a « un balai volant / qui quand elle veut / s’envole instantanément » ? Les enfants connaissent probablement déjà la bonne réponse : il s’agit de la sorcière Scarlett créée par l’imagination de l’auteure anglaise Julia Donaldson, une bonne petite sorcière qui inspire confiance et sympathie. Le vers ouvre l’un des livres les plus appréciés des enfants d’hier et d’aujourd’hui, La sorcière Scarlettavec des illustrations de l’illustrateur allemand Axel Scheffler, le deuxième titre de la série livres grand format qui célèbre la créativité du couple d’auteurs de livres pour enfants. Outre la nouveauté, en kiosque samedi 18 avec « Corriere » et « Gazzetta », le premier tome de la série reste également disponible, Le Gruffalo.

La sorcière Scarlett Publié pour la première fois en 2001, il a été traduit dans plus de vingt langues, a également remporté des prix littéraires; l’histoire et les personnages ont également inspiré des spectacles, des remaniements, des activités pédagogiques et des films d’animation.

Mais qu’y a-t-il de spécial, de magique, là-dedans ? la comptine de la petite sorcière continuer à enthousiasmer et divertir les jeunes lecteurs au fil du temps ? Donaldson utilise au moins trois ingrédients. Tout d’abord les thèmes : centraux sont ceux de l’accueil, de la participation et de l’inclusion. C’est l’histoire de Rossella qui, avec son chat, vole à la recherche d’aventures ; un vent malicieux et “un peu fou” la satisfait aussitôt en lui faisant perdre tantôt son chapeau, tantôt son arc, tantôt sa baguette. Le mécanisme narratif, simple et efficaceprévoit que la découverte de chaque “pièce” sera l’occasion de faire une rencontre, de faire la connaissance d’un nouvel ami qui demandera l’hospitalité sur le balai. Chambre sur un balaile titre original du livre, fait référence à ce qui se passe dans l’histoire où il la baise (balai) devient aussi accueillant qu’une pièce (chambre).

Dans le conte de fées, tous les nouveaux amis, seuls et ensemble, contribuent à ce que la fin heureuse ne soit pas manquée. ET la fin est une invitation à faire équipe, sorte de revisite de la devise des mousquetaires de Dumas : « Un pour tous, tous pour un ». Dans ce cas, la référence de Donaldson à un conte de fées traditionnel est également évidente. Les musiciens de Brême des frères Grimm : ici et là, ce n’est pas l’individu mais le groupe qui met en fuite le méchant. Dans le conte de Grimm, le brigand revient vers ses amis en disant qu’il a été harcelé par une horrible sorcière mais qu’il n’y avait pas de sorcière, et qui sait si Donaldson ne voulait pas se venger en choisissant une gentille et adorable sorcière comme protagoniste. .

Un autre ingrédient précieux dosé par Donaldson, et dont le pouvoir a longtemps été sous-estimé, est la gentillesse : Scarlett est une sorcière sympathique qui prête main forte à ceux qui sont en difficulté et lorsqu’elle se retrouve en danger, ou lorsqu’elle rencontre un dragon fou de ragoût de sorcière, ce seront ceux envers qui elle a fait preuve de bienveillance qui lui viendront en aide…

Ensuite il y a un facteur secret de Donaldson : la passion. Celle des comptines qui la pousse à toujours chercher le rythme des mots dans ses textes ; et celui des chansons, ce n’est pas un hasard si sa toute première histoire pour enfants n’est devenue un livre qu’après avoir été une pièce de musique. Dans le cas d La sorcière Scarlett la belle traduction italienne, de Laura Pelaschiar, conserve une musicalité marquée : l’invitation aux adultes, parents, éducateurs, professeurs est aussi pour cette raison à la lire à haute voix, capable d’impliquer même les plus jeunes lecteurs dans l’écoute.

La collaboration de l’écrivain avec l’illustrateur dure depuis plus de trente ans. La seule règle entre eux est la suivante : d’abord les textes naissent puis les dessins. Leur premier livre est sorti en 1993 et ​​depuis, ils n’ont jamais cessé de travailler ensemble. Même Scheffler, il ne pourrait en être autrement, a ses ingrédients magiques et secrets qu’il met judicieusement dans chaque livre.

Dans le cas d La sorcière Scarlett un élément de base est la variété, il n’y a pas de page dans le livre qui soit identique à une autre. Dans la grande illustration en double page qui ouvre l’histoire, Scarlett se présente exactement comme on pourrait s’y attendre d’une sorcière : chevauchant un balai, un chapeau sur la tête, tout en tenant un grand chaudron par le manche, ses cheveux sont rassemblés en une longue tresse et un nez avec un joli bouton coquin. La surprise c’est qu’il sourit de manière amicale et c’est précisément le sourire qui dicte l’ambiance de l’histoire. Peu à peu, les mots et les dessins alternent, donnant du mouvement au récit ; le texte est parfois entrecoupé de détails qui invitent le lecteur à laisser son regard parcourir la page.

Enfin, un autre ingrédient que Scheffler met dans le conte est le temps : tout commence par le soleil levant, puis le vent, les nuages ​​et la pluie arrivent, mais le soir une belle pleine lune apparaît dans le ciel. Et après une journée si riche en émotions, pour ceux qui volent sur le balai et aussi pour ceux qui lisent l’histoire, il est temps d’aller se coucher.

Petites liseuses, grand format : chaque volume en vente à 9,90 euros


Le Gruffalo e La sorcière Scarlett sont les deux premiers titres de la série d’histoires créées par Julia Donaldson et Axel Scheffler. Les volumes, livres grand format, sont en vente avec le « Corriere della Sera » ou la « Gazzetta dello Sport » chacun à 9,90 euros plus le prix du journal. Le monstre poilu et crocs, qui aura 25 ans cette année, et la petite sorcière qui fait de la bonne magie sont deux des personnages les plus appréciés des enfants. Qu’il suffise de dire que tous deux, en plus d’être les protagonistes de best-sellers pour enfants traduits dans des dizaines de langues et d’avoir vendu des millions d’exemplaires, sont également chacun au centre d’une attraction thématique au sein du parc d’attractions familial « Chessington World d’Adventures Resort”, au sud de Londres.



La série comprend un total de 19 sorties : samedi 18, c’est le tour de
La sorcière Scarlett (e Le Gruffalo est toujours en kiosque), puis on continue avec d’autres classiques comme Le Smei et le Smufi, Superworm, Stick e Biagio Stray. Chaque numéro restera en kiosque pendant une semaine. Julia Donaldson (Londres, 1948), après avoir fait ses débuts comme auteure-compositrice-interprète, a travaillé pendant de nombreuses années dans des programmes pour enfants à la BBC, inventant des histoires, des chansons et des comptines ; en 2016, elle était l’auteure anglaise la plus vendue au monde devant JK Rowling. Parmi ses livres, il vient de sortir L’oiseau et la fleur (Emme Edizioni) pour lequel l’auteur s’est inspiré des rituels de parade nuptiale des oiseaux. Axel Scheffler (Hambourg, 1957) a étudié à Bath, en Angleterre et a illustré plus de deux cents livres au cours de sa carrière ; son volume Amitiés par courrier régulier (Vanvere edizioni) a reçu il y a quelques jours le Prix de littérature jeunesse de Cento (Ferrare)

16 mai 2024 (modifié le 16 mai 2024 | 21h57)



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