Le plus jeune nageur de l’histoire d’Oncoswim est originaire de Gérone et a 14 ans

Le plus jeune nageur de l’histoire d’Oncoswim est originaire de Gérone et a 14 ans

2023-05-26 19:11:58

Ces jours-ci, à la maison Gauche, la joie s’accumule. “Nous sommes très heureux de partager cela ensemble. La famille est très heureuse et c’est historique, car cela ne s’était jamais produit dans l’histoire de laOncoswim. Nous sommes ravis, la vérité”, raisonne leÉricseize ans, un peu plus de deux ans son aîné Michael, qui vient d’avoir quatorze ans et est le plus jeune participant de l’histoire d’une compétition qui se déroule le samedi matin. “C’est un honneur, mais le plus important, c’est que tout le monde aide, car il y a des gens qui souffrent. On espère que les gens seront encouragés et visibles”, décrit Miquel, dans un acte d’une grande maturité.

Plus de 60 000 euros collectés

“C’est très important d’aider. À la maison, ils nous le répètent constamment. Et à GEiEG aussi, clair”, défendent Èric et Miquel Izquierdo, deux des membres du ‘Nens del GEiEG’, qui, avec Agustí Planas, Pol Barcelo je Théo Marinparticipera à la septième édition de l’Oncoswim, une traversée solidaire de trente kilomètres entre lesurpris et Calella de Palafrugell et qui vise à récolter des fonds pour la recherche sur le cancer du sein. L’équipe des enfants n’est pas la seule de l’organisation de Gérone à participer, car une équipe de maîtres formée par Alba Pons, martha vila, Minerve Pujol, Alex Pérez je Miquel Roger. Entre les deux, plus de quatre mille euros ont déjà été récoltés. Et parmi toutes les équipes en compétition, plus de soixante mille.

Le GEiEG a mené plusieurs actions socio-sportives pour récolter des fonds. Le médecin et aussi membre du groupe Maria Teresa Puigqui dirige l’enquête sur Groupe de Recherche Nouvelles Cibles Thérapeutiques depuis Université de Gérone, commente que “la recherche est très pertinente et il est essentiel qu’en tant que société, nous nous impliquions dans des projets comme celui-ci, il y a beaucoup de personnes impliquées dans la recherche, mais en même temps, nous manquons de ressources”. C’est une excellente nouvelle que les nouvelles générations ne se soucient pas de ces questions.

Eric et Miquel passent plusieurs heures par semaine dans l’eau. “Je viens trois jours par semaine, pendant environ cinq heures, après l’école”, raconte l’aîné, qui est en classe de quatrième. “Moi un peu plus, parce que je joue au water-polo et comme on a des matchs, j’y serais peut-être huit heures”, lance le petit, qui a deux cours de moins et dit qu’il aimerait bien faire partie de l’équipe des seniors en l’avenir. “Je ne vois pas cela comme incompatible avec les études et je passe un bon moment à faire du sport.” “Et c’est bon pour la santé”, ajoute Éric.

Faire du sport sans téléphone portable

Aujourd’hui, de nombreux adolescents et adultes manifestent un grave problème d’addiction aux écrans. Ce n’est pas le cas des frères Izquierdo qui, chez eux, surveillent l’utilisation des téléphones portables. “Je ne suis pas bloqué : nous avons activé le contrôle parental et nous ne pouvons utiliser le téléphone qu’une heure et demie par jour. Quand le temps s’écoule, c’est bloqué », explique Eric. “Le week-end, ils le prolongent d’une heure de plus. Et peut-être qu’un jour je leur demanderai plus d’heures ou, surtout l’été, quand j’ai plus de temps libre, ils ferment les yeux. Mais je le contrôle à moitié, je préfère faire du sport ou être avec des amis”, confie Miquel.

Habitué à la piscine, l’Oncoswim se dispute en eau libre et durera environ sept heures. Le changement est radical. “Ça me donne un peu de respect d’aller au fond de moi et de ne pas voir la terre”, avoue le mineur, tandis que le major gonfle le torse. “J’ai déjà fait des bêtises, ça ne me fait pas peur.”

Le test commence avec tous les participants qui nagent pendant douze minutes, tandis qu’un bateau les accompagne. Ensuite, quatre montent dans le bateau et un continue à nager, et des relais ont lieu toutes les douze minutes jusqu’aux douze derniers, au cours desquels ils franchissent tous la ligne d’arrivée en même temps. “Mais ce n’est pas le plus important, hein. Le plus important, c’est de récolter de l’argent”, répètent-ils en même temps. jordi à gauche, le père, qui attend patiemment la fin du rapport, s’ouvre quand nous avons fini. “On bave. Tout ce qu’ils font est une question de fierté.”



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