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Le PP demande la comparution des présidents de Renfe et Adif en raison des incidents ferroviaires

by Nouvelles
Le PP demande la comparution des présidents de Renfe et Adif en raison des incidents ferroviaires

2024-06-15 14:23:33

MADRID, le 15 juin (EUROPA PRESS) –

Le Groupe Parlementaire Populaire a demandé ce samedi la comparution des présidents de Renfe et Adif, respectivement Raül Blanco et Ángel Contreras, en raison des incidents enregistrés dans le réseau de transport ferroviaire.

La formation bleue a indiqué dans un communiqué qu’entre le 3 et le 13 juin, plus de 338 incidents se sont produits, touchant plus de 67.500 passagers, qui ont donné lieu à plus de 10.300 indemnisations.

De même, le PP a présenté, parallèlement à cette mesure, une batterie de questions pour que le Gouvernement fasse état des conséquences de son “manque d’action, d’investissement et d’entretien du réseau ferroviaire”.

Cette action fait partie de celle initiée le 20 mai par les communautés autonomes gouvernées par le PP et pour laquelle le ministre des Transports, Óscar Puente, a été invité à convoquer la conférence sectorielle pour aborder « l’état regrettable » du réseau ferroviaire et. les « incidents continus » qui se produisent.

Dans leur courrier, les exécutifs régionaux gouvernés par le PP affirmaient que “des incidents constants et récurrents dans certains services ferroviaires” étaient observés depuis plusieurs mois sans “une explication rigoureuse de ce qui s’était passé et sans que des mesures soient adoptées”.

Sur ce point, le secrétaire adjoint du PP à l’Economie, Juan Bravo, a souligné que le rôle de Puente est un “scandale” et a conclu qu'”il est évident que le gouvernement ne gouverne pas”.

“En raison de son incapacité [del Gobierno] “En approuvant les budgets, les postes d’investissement et d’entretien du réseau ferroviaire ont été sérieusement affectés”, a ajouté Bravo.

CHANGEMENTS DANS LA POLITIQUE DE PONCTUALITÉ

En revanche, le PP a critiqué l’annonce de Renfe de modifier les conditions de son engagement de ponctualité et sa politique de remboursement dans les services ferroviaires.

Concrètement, Renfe a supprimé l’indemnisation qu’elle offrait jusqu’à présent pour les retards de 15 et 30 minutes sur l’AVE, et à partir de juillet, elle n’indemnisera que les retards d’un minimum de 60 minutes, se limitant ainsi à se conformer à la réglementation espagnole.

Jusqu’à présent, Renfe se distinguait parmi tous les opérateurs en offrant un engagement de ponctualité bien supérieur au minimum requis par la législation, en restituant 50 % du billet pour un retard de plus de 15 minutes et 100 % si le train arrivait plus de 30 minutes. en retard.

À partir du 1er juillet prochain, comme l’a annoncé l’opérateur jeudi dernier à l’occasion de la mise à jour de son engagement de ponctualité, pour recevoir 50 % du prix du billet, le retard devra être égal ou supérieur à 60 minutes, tandis que pour recevoir 100 % vous devra attendre plus de 90 minutes.

Concernant cette série de modifications, Bravo a souligné qu’elles représentent « une détérioration de l’engagement de ponctualité » et a déclaré que « au lieu de résoudre le problème, pour lequel ils sont payés, ils s’efforcent de charger les utilisateurs de leur incompétence ».

Le PP a présenté une batterie de questions pour savoir si cette mesure est basée sur des rapports techniques, si elle est temporaire ou permanente et quels sont les retards, leur durée moyenne et les montants des retours et indemnisations des 6 dernières années pour évaluer correctement le question.

COMPARUSION DU ICI POUR LA DEMISSION DU PRESIDENT DE L’ANFAC

Le PP a annoncé qu’il demanderait la comparution du ministre de l’Industrie, Jordi Hereu, pour donner des explications sur la démission du président de l’Association espagnole des constructeurs d’automobiles et de camions (Anfac, association patronale du secteur automobile), Wayne. Griffiths.

Pour les plus populaires, la démission de Griffiths est due au “manque d’engagement” envers le secteur”, tandis que Griffiths lui-même, qui occupe le poste de président exécutif de Seat/Cupra, a imputé sa décision de démissionner du poste d’Anfac à la “l’inaction du Gouvernement en faveur de l’électrification”.

Les communautés gouvernées par le PP, dans leur lettre du 20 mai, ont également demandé d’examiner la carte des concessions de transport routier, car “elle entraîne des réductions des prestations engagées jusqu’à présent”.



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