Le président de l’UPSC « écarté » en raison de la controverse actuelle : le Congrès après la démission de Manoj Soni au milieu d’une dispute sur la stagiaire de l’IAS Puja Khdekar

Manoj Soni, président de la Commission de la fonction publique de l’Union (UPSC), a présenté sa démission pour des raisons personnelles. L’annonce, faite samedi, a déclenché un tollé politique, le parti du Congrès suggérant que le départ de Soni est lié aux controverses en cours autour de la commission.

L’article a qualifié cela de « représailles systématiques » pendant les controverses en cours autour de la candidature de Puja Khedkar, stagiaire de l’IAS.

Bien que des sources officielles affirment que la démission de Soni n’est pas directement liée aux récentes allégations, notamment à l’encontre de Puja Khedkar, agente stagiaire de l’IAS, le moment de son départ soulève des questions. Le mandat de Soni devait initialement prendre fin en mai 2029, et il n’a assumé le rôle de président de l’UPSC qu’en mai 2023, après être devenu membre de la commission en juin 2017.

Le secrétaire général du Congrès en charge de la communication, Jairam Ramesh, a critiqué l’état des organes constitutionnels en Inde depuis 2014, année de l’entrée en fonction du Premier ministre Narendra Modi. Ramesh a déclaré que le « caractère sacré et l’autonomie » de ces institutions ont été compromis, et a insinué que Soni a été « évincé » en raison des controverses actuelles impliquant l’UPSC.

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Ramesh a fait remarquer que « le caractère sacré, le caractère, l’autonomie et le professionnalisme de tous les organes constitutionnels ont été gravement mis à mal depuis 2014. Mais parfois, même le Premier ministre autoproclamé non biologique est obligé de dire que c’est assez. » Il a expliqué que Soni, décrit comme un « soi-disant gentleman distingué », a démissionné cinq ans seulement après le début d’un mandat de six ans, ce qui suscite des soupçons sur les motivations derrière cette décision.

Des sources indiquent que Soni aurait fait part de sa réticence à assumer le rôle de président de l’UPSC, indiquant son désir de se retirer de ce poste avant que sa demande ne soit finalement acceptée. Il souhaiterait consacrer plus de temps à des « activités socio-religieuses ».

Cette démission intervient après que l’UPSC a engagé une procédure pénale contre Khedkar pour avoir prétendument falsifié son identité afin de participer frauduleusement à des examens de la fonction publique au-delà de ses conditions d’éligibilité. La commission a pris des mesures pour l’exclure des futures sélections, soulignant les défis auxquels l’institution est constamment confrontée.

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Alors que les retombées politiques se déroulent, des questions subsistent quant à l’orientation future de l’UPSC et aux implications plus larges pour l’intégrité constitutionnelle de la gouvernance de l’Inde.

(Avec les contributions du PTI)

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