Le sénateur Luis Jugeprésident du Bloc Frente PRO, a envoyé une lettre adressée au président de la Chambre du Sénat, Victoria Villarrueldans lequel il a demandé que le gel des indemnités parlementaires jusqu’au 1er mars 2025. Dans la lettre, le leader de Cordoue déclare que lui et les membres de son parti renoncent explicitement à recevoir toute augmentation après la fin de la suspension en vigueur le 31 décembre, établie par la décision réglementaire 27/24.
Dans le document, Judge a exprimé que cette décision cherche à refléter une « attitude responsable et exemplaire » dans l’exercice de la représentation parlementaire, dans un contexte qui exige l’austérité de la part des agents publics. La prolongation du gel, selon le texte, a pour but de permettre que la question soit discutée lors de la prochaine session ordinaire du Sénat, prévue en 2025.
La lettre, officiellement présentée au Secrétariat parlementaire avec cachet d’entrée le 27 décembre 2024, souligne l’engagement du bloc en faveur de pratiques qui donnent la priorité aux intérêts des citoyens. Cette demande intervient au milieu de débats sur les mesures de maîtrise des coûts dans les branches de l’État.
La décision finale concernant la demande doit être évaluée par la présidence de la Chambre haute et discutée lors des prochaines sessions législatives.
Quoi qu’il en soit, en dialogue avec InfobaeLe juge a précisé que “s’il n’y a pas de session extraordinaire qui modifie la résolution prise à l’époque sur le gel, un décret de Villarruel prolongeant le gel jusqu’à la prochaine réunion du Sénat suffit”. Mais, comme il l’a souligné, la présentation de la lettre vise à éviter toute forme de « spéculation ». Quoi qu’il en soit, en dialogue avec InfobaeLe juge a précisé que “s’il n’y a pas de session extraordinaire qui modifie la résolution prise à l’époque sur le gel, un décret de Villarruel prolongeant le gel jusqu’à la prochaine réunion du Sénat suffit”. Mais, comme il l’a souligné, la présentation de la lettre vise à éviter toute forme de « spéculation ». Quoi qu’il en soit, en dialogue avec InfobaeLe juge a précisé que “s’il n’y a pas de session extraordinaire qui modifie la résolution prise à l’époque sur le gel, un décret de Villarruel prolongeant le gel jusqu’à la prochaine réunion du Sénat suffit”. Mais, comme il l’a souligné, la présentation de la lettre vise à éviter toute forme de « spéculation ». Quoi qu’il en soit, en dialogue avec InfobaeLe juge a précisé que “s’il n’y a pas de session extraordinaire qui modifie la résolution prise à l’époque sur le gel, un décret de Villarruel prolongeant le gel jusqu’à la prochaine réunion du Sénat suffit”. Mais, comme il l’a souligné, la présentation de la lettre vise à éviter toute forme de « spéculation ».
Quoi qu’il en soit, en dialogue avec InfobaeLe juge a précisé que “s’il n’y a pas de session extraordinaire qui modifie la résolution prise à l’époque sur le gel, un décret de Villarruel prolongeant le gel jusqu’à ce que le Sénat se réunisse à nouveau est suffisant”. Mais, comme il l’a souligné, la présentation de la lettre vise à éviter toute forme de « spéculation ».
« Nous sommes les seuls sénateurs à nous opposer à cette séance embarrassante au cours de laquelle les salaires des sénateurs ont été augmentés. En cela, nous avons eu une cohérence que personne n’a eue, aucun autre banc”, a ajouté le sénateur de Cordoue.
Au mois d’avril, le parti au pouvoir et l’opposition Ils se sont mis d’accord sur un nouveau système de régime et l’ont approuvé sur le campus. À partir de là, les législateurs ont commencé à être composés de 2 500 modules, plus 1 000 supplémentaires pour les frais de représentation et 500 supplémentaires pour le déracinement.
Concernant ce dernier point, seuls quatre ne le facturent pas. En outre, les législateurs ont ajouté un régime supplémentaire aux 12 actuels pour compenser le bonus. Cela représente, depuis ce mois, plus de 7 millions de dollars bruts.
Après la polémique générée par l’avant-dernière augmentation accordée aux employés législatifs – qui était liée à celle des sénateurs – de 6,6% pour juillet et août, la séance plénière de la Chambre haute a annulé l’augmentation en question et a gelé leurs indemnités jusqu’au 31 décembre. , à l’unanimité, avec 65 adhésions.
Le mois dernier, dans un mouvement qui a permis de relâcher la pression et d’atténuer les vives critiques des salariés conciliants – ils sont généralement les plus touchés – à l’encontre des syndicats législatifs – APL, de Norberto Di Prosperole syndicat le plus important -, le Congrès a conclu un accord commun presque identique à celui de l’Exécutif avec l’État : une augmentation de 6,13% -cumulée-, de septembre à décembre. Il n’a pas été présenté aux sénateurs, qui ont maintenu le gel jusqu’à la fin de l’année.
De là, la fourchette apparaît. Un groupe de législateurs estime que, puisque leurs salaires étaient déjà au niveau congélateurles deux dernières augmentations ne devraient pas être envisagées, donc au 1er janvier tout continuerait comme avant. Cette version n’est pas très durable et donne naissance à la deuxième option, avec une valeur de module mise à jour – aujourd’hui à 2 225,25 dollars – qui aura un impact sur les régimes alimentaires de plus de neuf millions de pesos bruts..
Source : Infobae.
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