Le projet Nancy Atlas au Stephen Talkhouse

Le projet Nancy Atlas au Stephen Talkhouse

Nancy Atlas et son groupe de compagnons dominent la scène musicale de l’East End ou de Long Island depuis un certain temps. Connue pour ses performances live brutes et son écriture stellaire, Nancy et son groupe, The Nancy Atlas Project, ont ouvert pour presque tout le monde sous le soleil. Pour n’en nommer que quelques-uns : Elvis Costello, Lucinda Williams, Toots and the Maytals, Jimmy Buffett, Crosby, Stills and Nash… la liste est longue. La raison est simple. Lorsque les gens veulent un acte solide pour ouvrir leur spectacle et réchauffer la foule, ils appellent Nancy et ses garçons parce qu’ils savent qu’ils seront à la hauteur. À chaque fois. Nancy a grandi avec du sang gitan à Commack, NY. Désireuse de tirer le meilleur parti de l’esquive, elle a passé toutes ses années universitaires à l’étranger à la fois à l’Université de Cambridge en Angleterre et au Richmond College à Londres et à Florence. Elle s’est spécialisée en histoire de l’art, en beaux-arts, en buvant beaucoup de vin et en parlant de merde. Il y a eu une grave récession l’année où elle a obtenu son diplôme universitaire, alors au lieu de devenir une publicitaire folle, elle s’est rendue à Portabello Road, à Londres, a acheté une guitare pour 60 livres et n’a jamais regardé en arrière. Il pleuvait des seaux de pluie anglaise ce jour-là, alors ils lui ont donné un sac en plastique noir pour couvrir sa guitare car elle n’était pas livrée avec un étui. Rien, dit-on, ne peut arrêter le vrai désir. Nancy vit maintenant à Montauk, New York avec son mari Thomas et ses deux fils, Cash et Levon, et sa fille Tallulah. Lorsqu’elle n’écrit pas de chanson ou qu’elle n’est pas sur scène, on peut la trouver en train de jouer avec ses enfants, de surfer avec ses enfants, de se promener avec ses enfants, de lire avec ses enfants ou de faire des dessins animés pour ses enfants. Les jours de pluie, elle trace paresseusement des cartes touristiques d’Europe avec sa main droite tout en sirotant son thé anglais PG Tibs bien-aimé et en souriant dans la brume de l’East End.

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