Désormais, une bonne connaissance de la langue française sera obligatoire pour immigrer au Québec en dehors des programmes humanitaires ou du regroupement familial, ce qui est une première dans l’histoire de la province. Bien qu’auparavant considérée comme un atout, la connaissance du français est désormais une condition sine qua non pour les candidats à la résidence permanente. Certains programmes d’immigration pourraient exiger un niveau de connaissance plus élevé que d’autres en fonction du type d’emploi. En outre, les étudiants étrangers diplômés d’un programme francophone au Québec se verront offrir des assouplissements des critères d’accès au Programme de l’expérience québécoise (PEQ) pour stimuler leur engagement économique et social dans la province. La ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration du Québec, Christine Fréchette, a également annoncé une priorité pour la régionalisation de l’immigration dans les régions éloignées de Montréal. Bien que la question de savoir si les seuils d’immigration permanent augmenteront reste controversée, François Legault, le premier ministre du Québec, reste fidèle à sa promesse de protéger la langue française dans l’immigration, même si cela signifie ne pas suivre le rythme de l’immigration fédérale, qui vise 500 000 nouveaux arrivants par an. Des changements pourraient également intervenir dans l’arrivée des travailleurs temporaires, bien que ces dossiers soient également fédéraux et nécessitent des discussions avec Ottawa et le milieu des affaires.
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