La déclaration utilise un mandat d’arrêt comme exemple. “C’est comme s’ils avaient rendu public le mandat d’arrêt (et non la décision sur laquelle était basée l’arrestation), ou la lettre pour se conformer au blocage d’un compte (et non la décision sur laquelle était basé le blocage).”
La Cour suprême a souligné que “toutes les décisions prises par le STF sont fondées, comme le prévoit la Constitution”.
Rapport
La commission des affaires juridiques de la Chambre des représentants des États-Unis a publié mercredi (17) un rapport qui cite une prétendue censure de la liberté d’expression au Brésil, qui serait promue par le STF. La commission est présidée par le républicain Jim Jordan, partisan de l’ancien président Donald Trump.
Le document est intitulé « L’attaque contre la liberté d’expression à l’étranger et le silence de l’administration Biden : le cas du Brésil ». Le rapport indique que cette prétendue censure au Brésil – et dans d’autres pays, comme le Canada et la France – devrait servir d’avertissement aux États-Unis.
Le texte dit que le ministre Alexandre de Moraes, avec “ce pouvoir nouveau et extraordinaire”, s’en est pris aux critiques de droite et de gauche.. Le document cite une série de mesures prises par Moraes et considère l’ancien président Jair Bolsonaro (PL) et ses partisans comme des victimes du STF. Le comité rappelle également le récent conflit entre X et le ministre.