Coup de théâtre au Sénégal. Le Conseil constitutionnel annule la loi qui reportait l’élection présidentielle au 15 décembre et oblige les autorités à organiser le scrutin dans les meilleurs délais, afin que le futur élu puisse entrer en fonction le 3 avril prochain. Est-ce une surprise ? Quelle est à présent la marge de manœuvre du président Macky Sall, qui avait initié ce report ? Moussa Diaw, professeur émérite de Sciences politiques à l’université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal, est notre invité.
![Moussa Diaw, professeur émérite de sciences politiques à l’université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal.](https://i0.wp.com/s.rfi.fr/media/display/15e98c70-cc8d-11ee-a4b7-005056a90284/w:980/p:16x9/Moussa%20Diaw%20est%20professeur%20%C3%A9m%C3%A9rite%20de%20sciences%20politiques%20%C3%A0%20l%E2%80%99universit%C3%A9%20Gaston%20Berger%20de%20Saint-Louis%20du%20S%C3%A9n%C3%A9gal..jpg?resize=980%2C551&ssl=1)
©youtube.com
Poursuivez votre lecture sur les mêmes thèmes :