Les inquiétudes grandissent quant au sort des otages détenus par le Hamas, avec la crainte que seuls 40 des 133 individus soient encore en vie, selon les renseignements recueillis par l’agence de sécurité intérieure israélienne, le Shin Bet.
Une source proche des efforts de renseignement, comme le rapporte le Daily Mail, a fait remarquer le changement de paysage depuis l’attaque, en déclarant : «[Intelligence] est beaucoup plus facile d’accès qu’avant le 7 octobre, lorsque nous avions un accès limité à Gaza et que nous n’avions pas beaucoup de possibilités de sources. La situation est complètement différente parce que nous sommes là. »
La réponse d’Israël à l’attaque a été énergique, entraînant la mort de 33 000 Palestiniens, comme le prétend le groupe terroriste Hamas. Parmi ces victimes, Israël affirme que 14 000 étaient des membres affiliés à l’organisation terroriste.
Malgré les efforts déployés pour obtenir la libération des otages, la situation reste difficile. À ce jour, 112 otages ont été renvoyés en Israël, grâce à des échanges et à des opérations de Tsahal.
Un convoi de la Croix-Rouge transportant des otages israéliens et étrangers se dirige vers l’Égypte depuis la bande de Gaza au poste frontière de Rafah, le dimanche 26 novembre 2023. AP Photo/Fatima Shbair
Cependant, les négociations avec le Hamas présentent des défis importants, comme le souligne une source sécuritaire qui considère qu’il s’agit d’une « cause perdue ».
Yehonatan Sabban, représentant le Forum des otages et des familles disparues, a souligné l’urgence de la situation, déclarant : « Les otages à Gaza manquent de temps ».
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