Les enquêteurs ont trouvé des notes sur son téléphone portable qui pourraient indiquer un mobile possible. Dans ce document, il ne qualifie pas l’explosion d’acte de terreur, mais il affirme vouloir sensibiliser les Américains au mauvais état de leur pays. Selon la police, le militaire aurait souffert de stress post-traumatique et aurait également eu des problèmes personnels.
Le FBI souligne que l’homme a agi seul et qu’il n’y a aucun lien avec l’attentat du même jour à la Nouvelle-Orléans. “Les seuls liens semblent être des coïncidences”, semble-t-il. “Aucune communication n’a été trouvée entre eux et il n’y a aucune information indiquant qu’ils se connaissaient. Nous n’avons également trouvé aucun lien entre lui et une organisation terroriste existante.”
Le lieu et la voiture semblent avoir été choisis symboliquement, mais selon le FBI, rien n’indique actuellement que Livelsberger nourrissait de la haine envers le futur président. “Il semble qu’il s’agisse d’un cas tragique de suicide d’un ancien combattant qui pourrait avoir souffert de stress post-traumatique.”
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