Le télescope James Webb prend les premières images détaillées des 11 des 13 anneaux d’Uranus. Les photos ont été prises par une courte exposition de 12 minutes avec seulement deux filtres. Les astronomes sont étonnés par la précision du télescope qui leur a permis de photographier les anneaux poussiéreux les plus ténus d’Uranus qui n’avaient pas été détectés auparavant. Les chercheurs de l’Université d’Oxford ont également identifié une couche de brume appelée “Aerosol-2” qui rend la planète bleue blanchâtre dans les longueurs d’onde visibles à l’œil nu. Les images ont également permis d’identifier six des 27 lunes connues d’Uranus. Les données collectées par le télescope aideront les scientifiques à comprendre certains des mystères de cette planète.

Le télescope James Webb, considéré comme le successeur du télescope spatial Hubble, vient de réaliser un exploit extraordinaire. Pour la première fois de l’histoire, cette merveille technologique a permis la capture d’une image spectaculaire d’Uranus et de ses anneaux. Cette découverte est le fruit d’une collaboration internationale de scientifiques et de professionnels de l’astronomie, qui ont travaillé de concert pour réaliser cette prouesse. Dans cet article, nous vous proposons de découvrir les détails de cette prouesse technologique et les principales caractéristiques de cette image magistrale d’Uranus et de ses anneaux.


Le télescope James Webb de la NASA a pris des images d’Uranus, révélant 11 des 13 anneaux lumineux de la planète, dont les deux anneaux les plus ténus, qui n’avaient été examinés qu’une seule fois par la mission Voyager 2 de la NASA en 1986. Les astronomes ont également été étonnés de la puissance du télescope qui a capturé des images détaillées de la surface de la planète. Les chercheurs ont noté qu’Uranus est enveloppé d’une épaisse brume dans son atmosphère, ce qui donne à la planète une couleur bleue pastel. Les images ont également montré plusieurs des 27 lunes d’Uranus, avec les six plus brillantes étant identifiées sur l’image. Les scientifiques espèrent que les données fournies par Webb les aideront à comprendre les mécanismes complexes associés aux saisons extrêmes de la planète et à la calotte polaire polaire de l’astre.