Home » Sports » “Le tennis italien triomphe avec Sinner et Berrettini : le football perd du terrain”

“Le tennis italien triomphe avec Sinner et Berrettini : le football perd du terrain”

by Nouvelles

2024-11-25 09:56:00

Un quatuor poursuit Conte

Pour en revenir au championnat, on disait que Naples est revenu au sommet grâce à un but de Lukaku (le seul éclair, mais décisif) qui a permis à Conte de battre son ami Ranieri, revenu sur le banc des Giallorossi. Faux départ pour Ranieri, même si la Roma, malgré peu de construction (une seule transversale de Dovbyk), ressortait la tête haute. Pour Naples, qui n’avait plus gagné depuis fin octobre, trois points précieux pour ne pas se faire rattraper par le train des poursuivants. Un train auquel la Lazio est également restée accrochée, victorieuse 3-0 lors du report contre Bologne. L’équipe de Baroni, vent dans le dos, a profité de sa supériorité numérique à la 35e minute pour expulser Pobega, qui a été sanctionné d’un deuxième carton jaune. Un moment magique pour les Biancocelesti qui, conservant la deuxième place, poursuivent leur course contre Naples. Ce qui, malgré la victoire, avouons-le, ne rend pas fou. Il marque peu, se crée peu d’occasions. Au final, Lukaku résout tout, même lorsqu’il joue mal. Ce que voulait pourtant Conte.

L’Inter rugit encore

Pour la première fois, peut-être grâce à la capitulation de Vérone (cinq buts en une demi-heure), l’équipe d’Inzaghi a transmis la sensation d’un retour au niveau de l’année dernière. Cinq buts à l’extérieur, pour ainsi dire, qu’il n’avait plus marqués depuis 1964, lorsqu’il avait battu la Sampdoria à Gênes. Mais au-delà des références statistiques, les Nerazzurri semblent avoir retrouvé la juste malice du plus fort. Inzaghi possède un énorme avantage : celui d’un banc extra-large qui lui permet de tourner sur les deux fronts (championnat et Ligue des champions) sans trop être affecté. Alors que Lautaro était fébrile, c’est cette fois Joaquín Correa, un talent de premier ordre resté jusqu’ici à l’écart, qui a pris le relais. L’Argentin, en plus du but, a touché deux poteaux, fournissant également deux passes décisives. Puis avec Thuram déchaîné (doublé en deux minutes), tout s’est bien passé permettant aux Nerazzurri de garder de l’énergie pour le match de demain contre Leipzig, dernier mais non des moindres en Ligue des Champions.

La Déesse ne se cache plus

L’Atalanta, qui évolue désormais comme une grande équipe (3-1 à Parme, septième succès consécutif en championnat), convainc même les sceptiques. Se cacher est désormais difficile. Ce qui frappe, c’est la détermination avec laquelle la Déesse entre sur le terrain. Il marque immédiatement avec Retegui. Il a subi un léger déclin en début de seconde période, mais ensuite il n’a plus rien encaissé, pensant déjà au match à Berne contre les Young Boys. L’impression est que Gasperini réfléchit également à une merveilleuse idée pour le Scudetto. Son projet est désormais défini. Peut-être qu’il ne remportera pas le titre, mais si cela arrive, personne ne sera surpris. Le rôle de l’Atalanta est également rempli par la Fiorentina qui, en s’imposant à Côme (0-2), a signé son septième succès consécutif, au rythme du groupe de poursuivants. Adli ouvre le score, de plus en plus maître du milieu de terrain, et double l’habituel Kean, déjà avec neuf buts comme Thuram.

Il vaut mieux tirer un voile de miséricorde sur Milan et la Juventus, qui sont passés 0-0 à cause d’une orchite aiguë. Certains se distinguent en soulignant que les Bianconeri, sans attaquants, ont atteint l’objectif souhaité : un autre nul (le septième) qui confirme la solidité de leur défense dans un match où il aurait fallu aux Rossoneri de gagner pour ne pas passer à côté. le train Scudetto.

Des considérations correctes que l’on laisse cependant de côté un aspect non secondaire : que Thiago Motta est arrivé à Turin non pas pour imiter Allegri mais pour apporter un football plus frais et sans scrupules. Mais ce grand changement n’a pas encore été constaté. Tout le monde répète que l’équipe de Motta s’agrandit, mais étant donné la façon dont fonctionne le quatuor de poursuivants, il serait bon que Motta, réfléchi, fasse un pas. Pas tant à cause de l’écart (quatre points) avec les leaders, mais parce que cela donne le sentiment d’être satisfait, d’avoir le bras court dans un championnat pourtant où les rivaux montent les régimes.



#tennis #italien #triomphe #avec #Sinner #Berrettini #football #perd #terrain
1732984584

You may also like

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.