Le Tribunal administratif du travail a décidé que le Réseau de transport de la Capitale (RTC) n’est pas tenu d’offrir un service essentiel en cas de grève. Cette décision crée un précédent qui pourrait bouleverser les niveaux de service dans les villes du Québec en cas de débrayage des employés des sociétés de transport, selon Bruno Marchand, maire de Québec. Il estime que l’Union des municipalités du Québec devrait se pencher sur la question. Dans sa décision, le Tribunal juge que l’augmentation de la circulation que pourrait engendrer une grève des chauffeurs d’autobus n’est pas de nature à mettre en danger la santé ou la sécurité de la population en raison de la dégradation des temps d’intervention des services d’urgence. Les 900 chauffeurs d’autobus du RTC menacent de se mettre en grève du 1er au 16 juillet si aucune entente n’est conclue avec leur employeur d’ici là. Selon Marie-Soleil Gagné, directrice générale d’Accès transports viables, les usagers du transport collectif sont les grands oubliés dans cette décision.
Un ancien officier de la CIA qui a drogué et agressé sexuellement des dizaines de femmes écope de 30 ans de prison
WASHINGTON (AP) — Un agent de longue date de la CIA qui a drogué, photographié et agressé