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Le tribunal rapporte que la victime d’un viol survenu dans un parking était incrédule face à ce qui s’est passé.

Le tribunal rapporte que la victime d’un viol survenu dans un parking était incrédule face à ce qui s’est passé.

Une femme qui aurait été violée par trois hommes dans le parking d’un hôtel a déclaré qu’elle était sous le choc le lendemain et “ne pouvait pas croire ce qui s’était passé”.

Les infractions auraient eu lieu le 20 décembre 2017 dans le parking d’un hôtel de la région de Leinster. La femme avait 17 ans à l’époque.

Le premier accusé (22 ans) a plaidé non coupable d’un chef de viol et d’un chef d’agression sexuelle. Un deuxième accusé (23) a plaidé non coupable d’un chef de viol, d’un chef de viol oral et de deux chefs d’agression sexuelle. Le troisième accusé (22 ans) a plaidé non coupable d’un chef de viol et d’un chef de viol oral.

Au troisième jour du procès devant le tribunal pénal central, le plaignant a déclaré mercredi à Alice Fawsitt SC, poursuivante, que la voiture avait été conduite à la zone de réception à la suite de l’incident présumé.

Elle a dit qu’elle était dans la voiture avec les premier et troisième accusés.

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Elle a ajouté qu’elle était ensuite montée dans une autre voiture, qui contenait les trois accusés, son amie et une autre personne. La plaignante a déclaré qu’elle ne savait pas au départ que la voiture s’était arrêtée à deux stations-service, mais qu’elle s’est ensuite rendu compte « qu’ils essayaient d’obtenir des cigarettes ».

Elle a dit qu’elle était “en état de choc” lorsqu’elle était dans la voiture à la station-service. Elle a dit qu’elle pensait qu’elle était peut-être sortie de la voiture à la première station-service, mais qu’elle n’en était pas sûre. La plaignante a également déclaré qu’elle ne se souvenait pas s’il y avait d’autres personnes ou des voitures à la station-service.

Je ne pouvais pas croire ce qui s’était passé.

La plaignante a dit qu’elle a été déposée de la voiture, puis a marché dix minutes jusqu’à la maison d’un ami où elle a utilisé les toilettes.

“J’avais peur de saigner”, a-t-elle dit, ajoutant qu’elle avait constaté qu’elle ne saignait pas mais “qu’il y avait du liquide qui sortait”.

La plaignante raconte qu’elle est ensuite allée se promener avec son amie, avant de rentrer chez elle, où ses parents et un frère se trouvaient dans la cuisine. Elle a dit bonjour, puis est allée dans sa chambre. Elle a dit qu’elle avait laissé ses vêtements dans la salle de bain.

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La plaignante s’est dite “choquée”, ajoutant : “Je n’arrivais pas à croire ce qui s’était passé”.

Elle a dit qu’elle n’avait pas dormi cette nuit-là et qu’elle s’était rendue dans une pharmacie le lendemain pour prendre la pilule du lendemain. La plaignante a dit qu’elle était censée aller travailler, mais qu’elle n’a pas pu le faire car elle n’arrêtait pas de pleurer.

Elle a envoyé un texto à son patron pour lui dire qu’elle avait un problème d’estomac, puis a éteint son téléphone et a passé la journée chez un ami.

Elle a dit que sa mère l’avait appelée plus tard dans la journée car elle s’inquiétait pour elle. La plaignante a déclaré qu’elle était rentrée chez elle ce soir-là.

La plaignante a confirmé à Mme Fawsitt que sa mère avait par la suite pris rendez-vous pour elle dans une unité de traitement des agressions sexuelles.

Le témoin a dit qu’elle voulait porter plainte auprès de la gardaí, mais ne l’a pas fait avant le 27 décembre car elle avait « peur ».

Elle a confirmé à Mme Fawsitt qu’elle avait donné ses vêtements de la nuit en question à gardaí. Elle a dit avoir effectué des recherches sur Facebook, puis donné divers noms à gardaí.

Le procès se poursuit devant Mme la juge Melanie Greally et le jury.


Si vous avez été affecté par l’un des problèmes soulevés dans cet article, vous pouvez appeler la ligne d’assistance téléphonique nationale 24 heures sur 24 pour la crise du viol au 1800-77 8888, accéder au service de SMS et aux options de chat en ligne sur drcc.ie/services/helpline/ou visitez Aide en cas de crise de viol.

En cas d’urgence, composez toujours le 999/112.

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