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Le vrai danger, c’est Vance, pas Trump, selon le WSJ

by Nouvelles

Les dirigeants européens qui espéraient que l’hostilité manifestée par un haut responsable américain ne soit qu’une posture pour la politique intérieure ont reçu une douche froide. Des conversations privées, rendues publiques, révèlent un certain mépris pour les Européens.

« J’ai horreur de devoir sauver l’Europe encore une fois », écrit-il à propos des attaques planifiées contre des rebelles. il ajoute que les États-Unis « commettent une erreur » en protégeant le commerce maritime en mer Rouge, car seulement « 3% du commerce américain passe par Suez, contre 40% pour l’Europe ». Un autre haut responsable partage « pleinement la haine pour le pathétique parasite européen ».

Le rôle dans les tensions transatlantiques

Ce haut responsable a joué un rôle de premier plan dans l’exacerbation des tensions entre Washington et l’Europe,exprimant un mépris pour le Vieux Continent qui dépasse même celui du Président.Il a durement critiqué les démocraties européennes lors d’un discours et a déclaré que l’Ukraine était « un pays dont je me fiche ».

Certains affirment que sa position découle du désir de renforcer l’Europe. « De l’extérieur, cela peut sembler négatif, mais ce qu’il fait, c’est rendre les discussions difficiles pour avoir un interlocuteur fort », a déclaré un membre du Congrès. Il a admis qu’eux deux ont « un certain niveau de ressentiment » parce que l’Europe n’a pas fait sa part en matière de sécurité.

« Ce dont nous avons besoin de l’Europe, c’est une Europe qui n’ait pas besoin de l’Amérique », a-t-il ajouté. Un conseiller informel a déclaré que le haut responsable « a une vision du monde complètement formée et clairement réfléchie. Il s’agit de convictions sincères. Beaucoup d’Européens s’énervent de ses commentaires, mais ils ne peuvent en réfuter le fond ».

Critiques et préoccupations

Ce haut responsable cite souvent des données sur l’économie et l’armée européenne pour illustrer ses faibles performances et sa dépendance envers les États-Unis. Il mélange les chiffres avec des affirmations fortes,comme celle selon laquelle l’Europe est plus en danger par la « menace de l’intérieur » – l’abandon des valeurs fondamentales comme la liberté d’expression – que par la Russie.

Les critiques envers les Européens pour la bureaucratie, les horaires de travail réduits et les forces armées faibles ne sont pas nouvelles, mais c’est la première fois qu’elles viennent d’un fonctionnaire d’un rang aussi élevé.ceux qui, aux États-Unis comme en Europe, se soucient de la relation transatlantique craignent que les opinions de ce haut responsable ne gagnent du terrain dans le processus décisionnel de la Maison Blanche. Pour l’instant, il est la voix la plus antieuropéenne dans le cercle restreint. Il reste à savoir quelle influence il a réellement.

Le mépris d’un haut responsable américain envers l’Europe : Analyze des tensions transatlantiques

Le contexte des tensions

Les dirigeants européens, espérant que l’hostilité manifestée par un haut responsable américain n’était qu’une stratégie politique interne, ont été déçus. Des conversations privées, divulguées au public, mettent en lumière un mépris marqué pour l’Europe.

Déclarations révélatrices

Le haut responsable a exprimé ouvertement son aversion pour l’Europe, affirmant : « J’ai horreur de devoir sauver l’Europe encore une fois ».Il a également critiqué la protection du commerce maritime en mer Rouge par les États-Unis, soulignant que seulement 3% du commerce américain passe par Suez, contre 40% pour l’Europe. Un autre haut responsable a exprimé une « pleine haine pour le pathétique parasite européen ».

Le rôle dans l’escalade des tensions

Ce responsable joue un rôle crucial dans l’accroissement des tensions entre les États-Unis et l’Europe, affichant un mépris qui surpasserait même celui du Président. Il a critiqué les démocraties européennes lors d’un discours et déclaré son indifférence envers l’Ukraine.

Visions divergentes et arguments

Certains interprètent sa position comme une tentative de renforcer l’Europe. Un membre du Congrès a déclaré que cela pourrait rendre les négociations plus difficiles,dans le but d’obtenir un interlocuteur plus fort. Le responsable souhaite une Europe indépendante des États-Unis. Un conseiller informel a souligné la cohérence de ses convictions,même si ses commentaires suscitent la controverse.

Critiques et préoccupations

Le responsable utilise des données sur l’économie et l’armée européennes pour justifier ses jugements, arguant que l’Europe est plus menacée par des problèmes internes que par la Russie. Ces critiques, bien que non inédites, émanent pour la première fois d’un responsable de ce rang. Les partisans de la relation transatlantique craignent que ses opinions gagnent en influence au sein de la Maison Blanche.

Tableau récapitulatif des points clés

| Point clé | Description |

| ——————————————– | —————————————————————————————————————————————- |

| Sentiment principal | Mépris et frustration envers l’Europe. |

| Critiques spécifiques | Faiblesses économiques et militaires européennes,dépendance aux États-Unis,et “menace intérieure”. |

| Objectifs perçus | Renforcer l’europe, ou la rendre plus indépendante des États-unis. |

| Préoccupations | influence potentielle sur la politique de la Maison Blanche et détérioration de la relation transatlantique. |

FAQ

Quel est le sentiment principal exprimé par le responsable américain ? Mépris envers l’Europe.

Quelles sont les critiques principales adressées à l’europe ? Faiblesses économiques et militaires, dépendance et “menace intérieure”.

Quel est l’objectif perçu de ces critiques ? Renforcer l’Europe, la rendre plus indépendante.

Quelles sont les préoccupations liées à ces opinions ? Impact sur la relation transatlantique.

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