2025-01-30 13:07:00
L’économie européenne ne s’est pas simplement éveillée. 2024 a eu un comportement un peu meilleur que l’année précédente. La zone euro a augmenté de 0,7%, selon Eurostat. Il y en a six dixièmes de plus qu’en 2023, mais le point de départ a été très faible et l’amélioration de plus de 12 mois a arrosé à la fin de l’année. Au dernier trimestre, l’activité dans la zone monétaire s’est arrêtée à sec. Le Bureau européen des statistiques calcule dans sa première estimation que l’activité n’a pas évolué, 0%.
Les deux géants de la zone monétaire pèsent beaucoup. L’Allemagne a terminé l’année dernière avec une légère contraction, son économie a chuté de 0,2%. Et la France ne prend pas seulement du terrain, en fait, l’année s’est terminée par un petit revers et une croissance au cours des 12 mois de 1,1%. La poussée de l’Espagne, qui surprend les analystes avec des nombres qui améliorent chaque prévision et ont obtenu une croissance de 3,2% dans toute l’année, ne suffit pas pour constituer les données que l’ensemble de la zone monétaire lance.
La maladie allemande montre beaucoup. Un pays qui vit une tempête économique parfaite dont il faudra pour partir pour un modèle de modèle aggravé par une situation géopolitique qui ne mettra guère les choses mieux à court terme. Le gaz bon marché russe et chinois est déjà en concurrence avec l’Allemagne dans des exportations élevées. Il ne peut pas non plus déjà location Leur sécurité aux États-Unis et son manque endémique d’investissements publics obligeront le nouveau gouvernement à sortir des sondages, cette politique historique partagée tout au long de son spectre politique est de repenser.
Il ne s’agit pas de ne faire qu’un examen de ce qui s’est passé en Allemagne, mais leurs problèmes sont très visibles dans les statistiques et non seulement parce qu’il représente plus d’un quart de l’économie de la zone euro. C’est que si ce moteur échoue, d’autres le remarquent. Il vous suffit de voir ce qui se passe avec les pays les plus proches, votre arrière-pays. L’Autriche, la Hongrie, la République tchèque ou la Slovaquie souffrent davantage lorsque leur grand voisin trébuche. Les deux qui se trouvent dans la zone euro en sont la preuve.
Les moteurs de croissance restent ailleurs. Si l’Irlande (-1,3%), l’Allemagne (-0,2%) et la France (-0,1%) ont donné les billets les plus négatifs du dernier trimestre de l’année, le Portugal (1,5%) et la Lituanie (0, 9%) ont donné le plus grand étirements. Très proche de ce dernier, l’Espagne est restée, avec une progression trimestrielle de 0,8%. Mais les deux premières sont des économies de taille modeste, et avec le petit coup d’autrui, ils ne servent pas l’Europe de l’atonie économique qui a provoqué la rupture de la locomotive francoalienne.
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