Leica D-Lux 8 en test

Der Traum, sich eine Leica leisten zu können, ist mit einer Kompaktkamera gar nicht so weit von der Realität entfernt. 2018 brachte der traditionsreiche Hersteller seine D-Lux 7 für nur 1150 Euro auf den Markt. Zuletzt gab es im vergangenen Jahr eine auf 1962 Einheiten limitierte Sonderedition 007 als Hommage an James Bond mit einem Objektivdeckel im Gun-Barrel-Look. Sie kostete 2000 Euro. Die Modellreihe gibt es schon seit 2003, sie basiert auf intensiver Zusammenarbeit mit Panasonic. Ein Objektiv mit hoher Lichtstärke und einem Brennweitenbereich von 24 bis 75 Millimeter sowie die kompakte Bauform machen seither neben dem günstigen Preis die D-Lux aus.

Jetzt ist die Nachfolgerin der D-Lux 7 im Handel, sie trägt die Modellnummer 8, kostet 1600 Euro und ist eher ein Facelift als eine Neuerscheinung. Das Gehäuse aus Magnesiumlegierung mit Kunstlederbezug wirkt moderner, wozu gewiss auch beiträgt, dass etliche Tasten und Bedienelemente weggefallen sind. Die D-Lux 8 misst 13 × 6,9 × 6,2 Zentimeter und wiegt mit Akku 400 Gramm. Sie liegt gut in der Hand, man meint geradezu, ihre Robustheit zu spüren, etwa wenn die Blendenstufen am Objektiv satt einrasten. Zum Laden des Akkus und PC-Anschluss gibt es eine USB-C-Buchse. Die Fotos landen auf SD-Speichermedien, auch Karten mit höherem Schreibtempo werden unterstützt.

Was die Optik betrifft, hat sich gegenüber dem Vorgänger nicht viel geändert: Das Objektiv mit besagtem Brennweitenbereich, Bildstabilisierung und einer Lichtstärke von 1,7 bis 2,8 bleibt ein Pluspunkt. Ausgeschaltet ragt das Objektiv markant aus dem Body hervor. Eine Fuji X 100 VI, zugegeben mit Festbrennweite, ist diesbezüglich etwas dezenter, etwa wenn es um die Straßenfotografie geht. Eingeschaltet ragt die Optik der Leica je nach Brennweite zwischen sechs und acht Zentimeter hervor. Der Four-Thirds-Sensor löst wie gehabt mit 21 Megapixel auf, von denen 17 für das Bild verwendet werden. Zwischen den Seitenverhältnissen 4:3, 3:2 und 16:9 kann man direkt am Objektiv umschalten.

L’écran de trois pouces de diagonale est situé à l’arrière et est tactile, vous permettant ainsi de régler rapidement le point de mise au point d’un simple mouvement du doigt. Mais il n’est pas pivotant, mais installé de manière permanente. Le moniteur dispose de 1,8 millions de pixels. Le viseur numérique avec écran OLED affiche près de 2,4 millions de pixels et possède un facteur de grossissement de 0,74x pour son équivalent 35 mm. Jusqu’à quatre dioptries d’amétropie peuvent être corrigées à l’aide d’une molette et un capteur oculaire allume automatiquement le viseur. À notre avis, c’est beaucoup trop petit, nous n’en avons pas profité. La livraison comprend alors une petite lampe de poche.

L’obturateur mécanique permet des temps de pose de 1/4 000 seconde à 60 secondes, l’obturateur électronique de 1/16 000 à une seconde. La sensibilité ISO peut être réglée entre 100 et 25 000. La prise de vue en continu est possible jusqu’à onze images par seconde, et le département vidéo propose des vidéos 4K jusqu’à 30 images par seconde. Le microphone intégré enregistre le son et dispose même de paramètres de sensibilité et de suppression du bruit du vent. Les données techniques montrent facilement que le D-Lux 8 est identique à son prédécesseur en termes de structure technique. Un nouveau développement actuel comme le Fuji X 100 VI susmentionné et tout aussi coûteux offre des performances nettement supérieures en termes de vitesse de prise de vue en continu, de sensibilité, de résolution vidéo et photo.

Avant tout, Leica a modifié le design, simplifié les commandes et, surtout, rendu le menu plus clair et plus fonctionnel. Le système est désormais basé sur le Leica Q 3 et offre un accès rapide aux paramètres sélectionnés lorsque vous appuyez sur le bouton de menu à l’arrière. En appuyant à nouveau sur le bouton, tous les paramètres s’affichent ; vous naviguez avec la touche à quatre directions à droite de l’écran. Tout est accrocheur, précis et clair, il n’y a rien à redire ici.

Comme pour les frères et sœurs de Wetzlar, il existe des simulations de films que Leica appelle « Film Look Profiles ». Quatre sont inclus et peuvent être ajustés dans certaines limites. Une fois de plus, le Fuji X 100 VI offre bien plus de possibilités et d’options. Sous le titre « Comment les influenceurs trouvent leur style » en juin, nous avons présenté de manière détaillée en quoi consistent ces filtres et simulations de films et comment des résultats similaires peuvent être obtenus grâce au post-traitement logiciel.

Bluetooth et WLAN sont disponibles pour la connexion d’un smartphone avec l’application Leica appelée Photos. Selon notre perception subjective, la qualité des photos est très bonne, ce qui est certainement dû aussi à l’objectif rapide. Avec une distance focale maximale de 75 millimètres dans l’équivalent 35 mm, vous n’avez certainement pas un zoom de voyage géant comme le proposent d’autres appareils photo compacts, mais vous avez le beau design rétro et la marque Leica.