Des tensions internes secouent une organisation caritative cofondée par un prince britannique. La directrice accuse ce dernier de « harcèlement ».
Sophie Chandauka, présidente de la fondation, a exprimé ses griefs dans une interview. Elle reproche au prince d’avoir diffusé publiquement son retrait de parrain sans l’en informer au préalable.
« C’est un exemple de harcèlement à grande échelle », a-t-elle déclaré.
Elle l’accuse également d’être à l’origine d’un exode de donateurs, suite à son retrait de la famille royale britannique. Selon elle, le recentrage de l’organisation sur les orphelins du sida est dépassé, car la maladie n’est plus une condamnation à mort automatique.
### Rejet des accusations par l’entourage
chandauka affirme que lorsqu’elle a insisté pour des changements, le prince et ses alliés au sein du conseil d’administration ont tenté de la pousser vers la sortie. Elle s’y est opposée,déclenchant une campagne de relations publiques contre elle.
L’entourage du prince n’a pas immédiatement commenté ces allégations. Une source proche du conseil d’administration a qualifié les accusations de « totalement infondées ». Elle a également démenti que le départ du prince de la famille royale ait nui à l’organisation.
une source proche des membres du conseil d’administration et des parrains a déclaré qu’ils avaient anticipé ce « coup de publicité » et qu’ils restaient déterminés à démissionner. Ils attendent avec confiance que la vérité éclate.
### Démission du conseil d’administration
Le prince et le cofondateur de l’organisation ont annoncé leur intention de se retirer de leur parrainage « jusqu’à nouvel ordre ». Ils ont justifié cette décision par le fait que les relations avec Chandauka étaient « irrémédiables ». Ce retrait est un signe de soutien et de solidarité envers les membres du conseil d’administration « qui ont dû faire de même ».
« Ce qui s’est passé est inimaginable. Nous sommes sous le choc d’avoir dû faire cela », ont-ils ajouté.
Auparavant, les cinq membres du conseil d’administration avaient exigé la démission de Chandauka. L’avocate zimbabwéenne occupe ce poste depuis juillet 2023. Elle a saisi l’organisme britannique de réglementation des organisations caritatives et a porté l’affaire devant la Haute Cour de Londres.Le conseil d’administration a ensuite démissionné collectivement.
### Un membre ne comprend pas les accusations
Un ancien membre du conseil d’administration a déclaré qu’il ne voyait aucune justification aux accusations de harcèlement contre le prince.
« Je peux honnêtement dire que dans les réunions auxquelles j’ai assisté, il n’y a jamais eu la moindre trace de cela », a-t-il affirmé.
les raisons exactes de cette rupture restent floues. Chandauka a expliqué qu’elle avait été attaquée après avoir exprimé des préoccupations concernant la direction de l’organisation, notamment en ce qui concerne le traitement des femmes noires.
Le prince et son cofondateur ont déclaré qu’ils allaient également signaler « leurs préoccupations » concernant les événements au sein de la fondation à l’organisme de réglementation des organisations caritatives. ce dernier a indiqué qu’il était « au courant de ces problèmes internes » et qu’il allait les « évaluer ».
Conflit au sein d’une organisation caritative : Le prince Harry accusé de harcèlement
Table of Contents
Cet article traite des tensions internes au sein d’une organisation caritative cofondée par un prince britannique, nommé dans les articles consultés.
Accusations de harcèlement et d’intimidation
La présidente de l’organisation, Sophie Chandauka, a accusé le prince de “harcèlement à grande échelle” [[1]].Elle lui reproche d’avoir annoncé publiquement son retrait de parrain sans l’en informer au préalable. Elle l’accuse également d’être à l’origine d’une perte de donateurs suite à son retrait de la famille royale. Chandauka estime que l’organisation devrait recentrer ses activités car le sujet actuel, les orphelins du sida, n’est plus une urgence.
Réactions et contre-attaques
Réactions de l’entourage du prince: L’entourage du prince a qualifié les accusations d'”infondées” [[1]].
Démission du conseil d’governance: Le prince et le cofondateur se sont retirés de leur parrainage. Les membres du conseil d’administration ont démissionné collectivement.
* Points de vue divergents: Un ancien membre du conseil d’administration a déclaré ne pas voir de justification aux accusations de harcèlement.
Prochaines étapes
Chandauka a saisi l’organisme britannique de réglementation des organisations caritatives et a porté l’affaire devant la Haute Cour de Londres. Le prince et le cofondateur ont également déclaré qu’ils allaient signaler leurs préoccupations à l’organisme de réglementation.
Tableau récapitulatif des accusations et des réponses
| Accusation | Réponse |
| :——————————————— | :—————————————————————————————– |
| Harcèlement et annonce publique du retrait | Le prince et son entourage rejettent les accusations. |
| Perte de donateurs suite au retrait royal | Une source proche du conseil d’administration nie que le retrait ait nui à l’organisation. |
| Tentative de pousser Chandauka vers la sortie | Chandauka affirme que le prince et ses alliés ont tenté de la destituer. |
FAQ
Qui accuse le prince ?
Sophie Chandauka, présidente de l’organisation caritative.
De quoi est accusé le prince ?
De harcèlement et d’intimidation.
Quelle est la réaction de l’entourage du prince ?
Les accusations sont qualifiées d'”infondées”.
Quelles sont les prochaines étapes ?
L’affaire est portée devant la justice et l’organisme de réglementation des organisations caritatives.