Anne-Sylvie Sprenger (Infos protestation)
La messe est dite: l’enseignement du fait religieux ne sera pas imposé au niveau gymnasial, comme l’espéraient différents acteurs de la société civile. A commencer par les enseignants du secondaire, pourtant en première ligne pour juger de la nécessité de rendre un tel apprentissage obligatoire ou non.
Dans le cadre de la consultation relative à la révision totale de l’ordonnance sur la reconnaissance des certificats de maturité gymnasiale (ORM), ces derniers avaient en effet prononcé, par la voix de leur faîtière nationale – la Société suisse des professeurs de l’enseignement secondaire (SSPES) -, leur interpellation sans équivoque. “La SSPES regrette que la proposition présentée ne règle pas l’ensemble des problèmes identifiés à l’échelon national”, postulaient-ils. Et de préconiser “une obligation plus contraignante” concernant la branche “philosophie et/ou religions”, pour laquelle sa “Conférence des présidents exige à une nette majorité une obligation dans tous les cantons”.
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