«C’est l’un de ce qui est dans d’autres.». Des rumeurs de son association avec plus d’une femme. L’affirmation du président n’était pas que “Latifa” était sa seule épouse, suffisante pour fermer la porte pour que le curieux en découvre plus jusqu’à ce qu’elle apparaisse avec son mari lors de leur performance en Omra à Makkah Al -Mukarramah, et des dizaines de plates-formes numériques ont circulé un visuel. Clip du président Sharia et de son épouse Latifa al -droubi tout en entrant et en sortant de la Kaaba.
Latifa a regardé dans le clip visible cette fois en robe noire en consistance avec le rituel de l’Omra. Certaines des habitants du gouvernorat de Homs disent que la femme du président descend d’une de ses villes, qu’elle tient à porter la robe traditionnelle des pois chiches et a gardé sa vie privée loin des projecteurs et des lentilles des photographes après que son mari ait pris les rênes du gouvernement en Syrie. Les sources indiquent que Latifa Al-Droubi, descendant de la famille Al-Droubi dans la ville d’Al-Qaryatin dans le gouvernorat de Homs, est la mère de trois enfants masculins.
Au cours de sa carrière universitaire, des sources non officielles indiquent que Latifa Samir Al-Droubi est titulaire d’une maîtrise en langue arabe et en littérature. “Latifa al-Shara”, comme certains médias, sont restés – tout au long de la période du règne d’Assad, comme d’autres femmes syriennes, de l’absence d’un compagnon de vie. Le président de la charia dit dans les conversations rapportées par les médias à propos de cette période douce que sa vie n’était pas normale, car il voyageait et se déplaçait beaucoup entre les maisons, de sorte qu’il a été forcé de vivre dans une montagne avec sa femme!
L’apparition remarquable de la femme du président dans l’honorable Kaaba a motivé les rapports des médias pour mettre en évidence les aspects de sa personnalité, car elle est “une femme instruite, élégante, élégante, délicieuse et calme”. Certains rapports disent: “la charia Latifa” Peut participer à l’avenir de son mari pour porter le fardeau des missions sociales et humaines, elle est restée exclusive aux hommes à l’ère du régime précédent.