La société norvégienne Équineur embauché al Banque d’Amérique (BOFA), l’une des principales banques d’investissement de la planète, pour se détacher des actifs qu’il possède à Vaca Muerta. C’est votre participation à la région Bandurria du SudUn bloc d’huile de schiste exploité par YPF, qui détient 40% du capital social, dont Equinor en détient 30% et les 30 autres sont entre les mains de Shell; et de Bajo del Toro NorteUne autre zone exploitée par YPF, dont la société nordique en détient 50%. Cela a été indiqué à Éconojournal Trois sources privées sans contact les unes avec les autres. Compte tenu de la consultation de ce médium, de l’équinor, ils ont évité les commentaires.
Comme prévu Éconojournal En janvier, certaines sociétés internationales, telles que Equinor et TotalENGIES, ont lancé des processus officiels pour sonder l’intérêt du marché dans les zones dans la fenêtre brute de Vaca Muerta. Cette situation a mis en évidence l’intérêt des compagnies pétrolières avec les actionnaires locaux (Vista, Tecpetrol, Pampa Energía, Pluspetrol, Pan American Energy, CGC, entre autres) pour étendre leur présence dans une formation non conventionnelle, tandis qu’il y a une rétraction des entreprises internationales pour augmenter Leurs investissements en fonction du fait que les restrictions d’échange qui ont été affectées par le pays ne sont pas encore résolues. «Il y a des millions de dollars piégés en Argentine pour les dividendes que les entreprises ne pouvaient pas se tourner vers leurs matrices au cours des 10 dernières années. Il est peut-être temps de faire un argent (une vente) et de récupérer une partie de cet argent », a-t-il analysé un gestionnaire de huile.
Région du sud de Bandurria
Commerce
Le truc concret est que la Bank of America commencera à recevoir dans les prochaines semaines les offres des entreprises intéressées par leurs actifs à Vaca Muerta. YPF a le droit de préférence ou premier refus —Rof, pour son acronyme en anglais – pour correspondre à la meilleure offre reçue par les zones et s’impose dans le bris d’égalité, une situation qui laisse la compagnie pétrolière sous le contrôle de l’État dans une position avantageuse pour faire face à la négociation.
Basse zone du Northern Bull
L’année dernière, l’équinor a perforé le puits exploratoire offshore Argerich dans la mer argentine situé dans le bloc 100 du bassin d’Argentine du Nord (CAN 100) et n’a pas trouvé de preuve d’hydrocarbures. De plus, il a fait face à un processus de vente d’actifs dans lequel il lui a donné le 35% de ses zones offshore du bassin austral près de Tierra del Fuego à YPF et 25% supplémentaires à la société de carburant générale (CGC), la société pétrolière de la société, présidée par Hugo Eurnekián.
Cependant, ce processus de vente réalisé par le BOFA à Vaca Muerta n’envisage pas la vente des concessions offshore que la société possède en Argentine, mais n’a que le pouvoir de vendre les zones du Sud et de Bajo Bandurria du taureau, de sorte que sa participation en offshore se poursuivra.
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