Nouvelles Du Monde

Les agriculteurs du Brabant reçoivent 45 millions de La Haye à un rythme accéléré

Les agriculteurs du Brabant reçoivent 45 millions de La Haye à un rythme accéléré

L’appel urgent au gouvernement de la province du Brabant pour qu’il débloque rapidement plus d’argent pour réduire les émissions d’azote a aidé. Avant la fin de l’année, le Brabant recevra 45 millions d’euros pour aider les agriculteurs à construire des écuries à faibles émissions. Les agriculteurs brabançons doivent avoir demandé une autorisation pour une telle grange avant le 1er janvier 2024. L’argent de La Haye arrivera donc à temps pour pouvoir donner aux agriculteurs des subventions supplémentaires pour construire les écuries.

Les mesures stables font partie de la Brabant Development Approach Nitrogen. Ils apportent une contribution très importante à la réalisation des objectifs que le gouvernement central fixe pour la province. Une réduction d’azote de 50 % en 2030. Administrateur provincial Elies Lemkes d’Agriculture et Alimentation : « Heureusement, nous investissons dans des écuries innovantes depuis de nombreuses années et nous sommes heureux que les fonds gouvernementaux soient mis à disposition tôt, afin que les agriculteurs puissent investir en eux.”

Lire aussi  « Le front de l'idole s'illuminera sur Ram Navami », Shiv Sena, dirigé par Shinde, fait un don de Rs 11 Cr : dernières nouvelles sur Ayodhya Mandir

Avantage lors de la demande de permis à temps
Afin de pouvoir procéder à temps aux adaptations nécessaires de l’étable, les éleveurs doivent également demander une autorisation à temps. Environ 2200 éleveurs doivent encore le faire. Cela pourrait conduire à un énorme pic de demandes au printemps prochain et donc à une surcharge des services environnementaux qui doivent évaluer toutes ces demandes. Les agriculteurs qui demandent un permis avant le 1er avril recevront une compensation financière supplémentaire. Pour les agriculteurs qui le font avant le 1er janvier, la compensation supplémentaire est encore plus élevée. Cela aussi est payé sur les 45 millions du gouvernement.

Si vous demandez le permis à temps, mais que vous ne l’avez pas reçu à temps, la province vous accordera plus de temps pour réaliser l’adaptation de la grange. La province alloue également 30 000 € pour renforcer l’équipe qui doit traiter toutes les demandes de permis. Le Brabant espère ainsi éviter un blocage du système.

Lire aussi  Les consommateurs américains « négocient vers le bas ». Comment jouer avec les options.

Systèmes d’étable disponibles
Un système de logement qui réduit les émissions n’est pas encore disponible pour tous les animaux. Cela s’applique aux taureaux de boucherie et de reproduction élevés sur paille, à certains poulets fermiers, lapins et dindes de chair. Il a donc été décidé d’adapter les exigences pour ces catégories d’animaux en matière de réduction des émissions d’ammoniac. Ces secteurs d’élevage disposent donc d’un espace supplémentaire pour faire de bons aménagements d’étable.

Si vous ne voulez pas du tout d’un nouveau système d’étable, alors en tant qu’agriculteur, vous pouvez choisir de devenir respectueux de la nature. Une exception à l’obligation de licence s’applique à ces entreprises et aux entreprises biologiques. En effet, ces agriculteurs ont déjà (ou sont en train d’adopter) des pratiques commerciales durables et contribuent ainsi à atteindre les objectifs de qualité des sols et de l’eau. C’est pourquoi la province met des fonds supplémentaires à la disposition du Biodiversity Monitor. Les éleveurs peuvent démontrer qu’ils sont respectueux de la nature via le Biodiversity Monitor, une sorte de modèle de calcul.

Lire aussi  Aidez à fournir un yoga gratuit et tenant compte des traumatismes aux anciens combattants et aux militaires en service actif

Pas de certitude absolue
Le respect de l’obligation de construire une étable à faibles émissions n’offre toujours pas la certitude absolue que votre entreprise n’aura pas à disparaître pour atteindre les objectifs d’azote. En raison de l’avenir incertain des éleveurs de bétail, les banques ne souhaitent souvent plus coopérer à l’octroi d’un prêt pour cette étable à faibles émissions. Le député Lemkes le voit aussi et dit qu’il entamera des pourparlers avec les banques. “Nous nous en sortons très bien dans le Brabant. Il n’y a aucune raison de ne pas aider les agriculteurs en matière de financement. Je vais en parler.”

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

ADVERTISEMENT