Les associations BDI et BDEW réclament de l’argent de l’État pour le réseau électrique

2024-10-12 02:45:00

Die deutsche Wirtschaft ist es leid, dass die Politik ständig Strompreissenkungen verspricht, aber nicht liefert. In einem ungewöhnlichen gemeinsamen Appell fordern daher der Industrieverband BDI und der Energieverband BDEW die Bundesregierung dazu auf, die Entgelte für die Übertragungsnetze aus dem Budget zu subventionieren. Den steigenden Netzkosten müsse „mit einem Zuschuss aus dem Bundeshaushalt begegnet werden“, sagte die Hauptgeschäftsführerin des Bundesverbands der Energie- und Wasserwirtschaft BDEW, Kerstin Andreae, der F.A.Z.

Der stellvertretende Hauptgeschäftsführer des Bundesverbands der Deutschen Industrie BDI, Holger Lösch, stellte klar, dass auch Privatkonsumenten entlastet werden müssten. „Ein Zuschuss bei den Übertragungsnetzentgelten ergibt wirtschaftlich und politisch Sinn: Davon profitieren alle Verbraucherinnen und Verbraucher, egal ob Haushalt oder Wirtschaft“, sagte Lösch dieser Zeitung.

Zuletzt griff der Staat 2023 für die Netze in die Tasche, die Hilfszahlung für 2024 von 5,5 Milliarden Euro aus dem Wirtschaftsstabilisierungsfonds ließ sich nach dem Veto des Verfassungsgerichts dann nicht mehr aufrechterhalten. Jetzt wird überlegt, einen Teil der freigewordenen zehn Milliarden Euro an Staatshilfen für den Chiphersteller Intel, der den Bau seines Werks in Magdeburg verschoben hat, heranzuziehen. Die Verbände sagen indes nicht, an welche Töpfe sie denken.

Energiepolitik gefährdert Konsum, Investitionen und Wettbewerbsfähigkeit

Lösch ist aber überzeugt, dass sich der Bundeszuschuss in jedem Falle auszahlt: „Das stärkt den Wirtschaftsstandort Deutschland und die Akzeptanz der Energiewende.“ Aus Sicht der Wirtschaft sind die hohen Belastungen nicht länger hinnehmbar. Sie gefährdeten den Konsum, die Investitionen und die internationale Konkurrenzfähigkeit. Seit 2022 hätten sich die Netzentgelte für Industriekunden annähernd verdoppelt, „und es ist keine Entlastung in Sicht“, heißt es in dem Appell. „Dies hat auch weitreichende Folgen für die Wettbewerbsfähigkeit der heimischen Industrie.“ Für einen mittelständischen Betrieb stiegen die Netzentgelte zwischen 2022 und 2025 um 0,7 Millionen Euro, für einen größeren Industriekunden um 2,2 Millionen Euro.

Dans cet appel, le secteur de l’énergie et l’industrie s’engagent dans le double objectif de la transformation au CO2 -Promouvoir la neutralité, tout en préservant la localisation industrielle. La crise climatique s’aggrave, c’est pourquoi la restructuration économique nécessite de plus en plus d’argent. Mais dans le même temps, les coûts énergétiques élevés ont rendu difficile l’investissement dans cette transformation. Cela s’applique avant tout aux frais de réseau. L’expansion et la conversion des réseaux sont indispensables, « avec chaque centime, nous recevons une partie de l’infrastructure la plus moderne, la plus durable et la plus nécessaire », a déclaré Andreae. L’argent ne serait pas seulement injecté dans les lignes, mais également dans ce que l’on appelle la gestion de la congestion du réseau ou du redispatch. Il s’agit des coûts liés au maintien de la stabilité suprarégionale à une époque où les énergies renouvelables sont trop ou pas assez utilisées.

Selon Andreae, c’est cet effort qui fait augmenter le plus les frais, même s’il ne s’agit pas de coûts de réseau originaux, mais plutôt de ceux qui découlent de la transformation politique et socialement souhaitée. Dans l’industrie, on parle déjà de « lignes hors réseau » analogues aux « services non assurés » du système de santé couverts par le gouvernement fédéral.

Lösch a déclaré que la transition des combustibles fossiles vers l’électricité et l’hydrogène vert ne peut être réalisée que dans des conditions compétitives. Cependant, les coûts du système sont déjà élevés et devraient continuer à augmenter : « Compte tenu de la tâche de transformation qui attend la société dans son ensemble, une subvention des fonds fédéraux pour l’infrastructure est nécessaire. »

Le ministre de l’Économie Robert Habeck (Verts) et le chancelier Olaf Scholz (SPD) se sont prononcés en faveur des subventions publiques, mais le ministre des Finances Christian Lindner (FDP) préfère utiliser les milliards d’Intel pour combler les trous budgétaires. Les milieux gouvernementaux ont déclaré que Scholz souhaitait soulager les entreprises industrielles le plus rapidement possible et avait également des idées précises sur le type de financement et son montant.

Avant d’annoncer des réductions, il souhaite d’abord les présenter au sein du gouvernement. Il est important que les subventions aux redevances de réseau restent dans les limites des règles budgétaires. Des décisions sont attendues à Berlin dans les mois à venir afin que les coûts de l’électricité puissent baisser de manière générale en 2025, à temps pour l’année électorale.



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