Les choses qui arrivent. Gênes.

2024-10-25 07:00:00

/*! elementor – v3.18.0 – 20-12-2023 */ .elementor-widget-text-editor.elementor-drop-cap-view-stacked .elementor-drop-cap{background-color:#69727d;color:#fff} .elementor-widget-text-editor.elementor-drop-cap-view-framed .elementor-drop-cap{color:#69727d;border:3px solid;background-color:transparent}.elementor-widget-text-editor : pas (.elementor-drop-cap-view-default) .elementor-drop-cap{margin-top:8px}.elementor-widget-text-editor:not(.elementor-drop-cap-view-default) .elementor -drop-cap-letter{largeur:1em;hauteur:1em}.elementor-widget-text-editor .elementor-drop-cap{float:left;text-align:center;line-height:1;font-size : 50px}.elementor-widget-text-editor .elementor-drop-cap-letter{display:inline-block}

En collaboration avec la Société italienne d’histoire de la psychiatrie, le
Le Genoa Science Festival 2024 propose l’événement :
FRANCO BASAGLIA : UNE VIE DE DÉFIS.
Construire une psychiatrie sans hôpitaux psychiatriques – conférence
30 octobre 2024 – à 17h30
Bibliothèque Nationale Universitaire de Gênes (devant la
Gare Principe)

Table ronde animée par Massimo Aliverti. Intervenants :
Gerardo Favaretto : Franco Basaglia à Padoue (« Le philosophe »)
Pietro Pellegrini : Franco Basaglia à Colorno (Parme)
Paolo F. Peloso : Franco Basaglia : huit défis pour l’institution
Salutation introductive de Rocco Luigi Picci

Franco Basaglia, né il y a exactement cent ans, est le psychiatre qui a inspiré la loi grâce à laquelle, en 1978, l’Italie a décrété la fermeture des hôpitaux psychiatriques. Dans sa vie, Basaglia a fait face à de multiples défis. À l’institution, qu’il faut nier et reconstruire chaque jour, pour ne pas devenir un élément d’oppression. A l’hôpital psychiatrique, qui ne doit pas exister : les seuls lieux où il faut affronter la folie sont les lieux normaux de la vie. Folle, car son emprise sur la personne n’est jamais assez forte pour la détruire complètement. À la peur de l’autre, qui nous pousse à le repousser, à l’enfermer, parfois même à l’attacher. A mes confrères psychiatres, car on peut toujours mieux travailler, en devenant aussi l’ami, le porte-parole, le syndicaliste de ses patients. À une société qui puisse être moins effrayée et plus généreuse et ouverte dans l’accueil de ceux qui font la douloureuse expérience de la folie. Cette figure exceptionnelle sera au centre d’une rencontre entre quatre psychiatres qui, partant de différentes réalités régionales, partagent l’expérience de travail dans les services de santé mentale et la passion pour la relation entre la maladie mentale et la société : un défi qui revient toujours et avec auquel nous devons faire face encore aujourd’hui, chaque jour.



#Les #choses #qui #arrivent #Gênes
1730009558

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.