2024-08-31 12:03:27
Es war Freitag, kurz nach 16 Uhr, als Robin Gosens die Fußball-Welt in Berlin-Köpenick für einen Moment aus den Angeln hob. Eigentlich war mitterweile klar, dass der Nationalspieler trotz aller Gerüchte um einen Wechsel bei Union Berlin bleiben werde. Eigentlich.
Denn nur wenige Stunden vor Schluss des Transferfensters – und dem Heimauftakt gegen den FC St. Pauli – flatterte eine Nachricht aus Italien herein. Und plötzlich war alles anders.
Mit einem Mal war Gosens weg, verliehen an die AC Florenz – laut Medienberichten mit Kaufpflicht. Und das, obwohl ihn Trainer Bo Svensson fest für die Startelf gegen St. Pauli vorgesehen hatte.
Gosens „völlig aufgelöst“
In der Mannschaft erregte der Zeitpunkt des Deals Unmut. „Da muss ich ehrlich sagen, das ist eine Katastrophe. Da sollten sich die schlauen Menschen mal Gedanken darüber machen, dass wir zwar Fußballspieler, aber auch Menschen sind“, sagte Rani Khedira nach dem 1:0 gegen St. Pauli dem Sender DAZN.
Le milieu de terrain, agacé, a rapporté que Gosens « était presque là, les larmes aux yeux et était complètement désemparé », a déclaré Khedira : « Au déjeuner, il était clair qu’il restait avec nous, qu’il jouait. Et deux heures plus tard, après sa sieste, on apprend que ça marche finalement.”
En ce qui concerne la date limite de transfert, il a exigé : « Soit vous le faites après le jour du match, soit clairement avant le jour du match, mais pas le jour du match lui-même. »
La version de Heldt semble différente
Parce que maintenant, Svensson devait rapidement repenser et mettre Tom Rothe, qui n’avait que 19 ans, au poste de Gosens. « Vous vous préparez, vous voulez jouer de cette façon et de cela, vous pensez que c’est à cela que ressemble l’équipe. Et en quelques minutes, cela change », a déclaré le Danois sur DAZN.
Le directeur sportif de l’Union, Horst Heldt, a expliqué comment cette bizarrerie, une autre dans l’histoire du « Deadline Day », a pu se produire – et cela sonnait un peu différemment de Khedira.
Gosens s’entraînait donc encore vendredi matin et tout était prêt pour un match contre St. Pauli. L’équipe était en train de discuter de l’attribution des coups de pied arrêtés contre les Pauliens lorsque les choses se sont échauffées avec la Fiorentina.
Gosens avait déjà fait part de son envie de changement les semaines précédentes. Des clubs italiens ont été échangés à plusieurs reprises, où Gosens avait déjà joué pour l’Atalanta Bergame et l’Inter Milan.
Après que les choses n’aient jamais vraiment cliqué avec les parties intéressées précédentes, Gosens, dit Heldt, s’est approché de lui et de Svensson après la demande de Florence et a dit “qu’il aimerait le faire, en fin de compte, il n’y avait “aucune raison sportive pour le départ” mais pour. raisons privées. » Alors Heldt l’a laissé partir.
« Amis retrouvés » à l’Union
L’Union a besoin de joueurs « qui donnent tout pour l’Union », poursuit Heldt : « Et pour que quelqu’un donne tout pour l’Union, il faut que tout le monde autour de lui s’identifie également à la cause. »
Gosens lui-même l’a toujours fait au cours de cette année difficile à Berlin, qui a failli se terminer par une relégation et lui a coûté le Championnat d’Europe à domicile – comme il l’a également déclaré dans le communiqué de presse à propos de ses adieux.
Il “a trouvé des amis à l’Union, a pu réaliser mon rêve de Bundesliga et est reconnaissant envers les fans, les employés, l’équipe d’entraîneurs et mes coéquipiers et amis”, a déclaré Gosens, qui se souviendra “toujours de toutes ces personnes de manière positive. »
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