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Les cycles menstruels courts ou longs augmentent le risque de maladies cardiovasculaires de 19% selon une étude américaine. Les chercheurs ont suivi plus de 58 000 femmes pendant 12 ans et ont constaté que les cycles menstruels de moins de 21 jours ou de plus de 35 jours étaient associés à un risque accru d’infarctus, d’angine de poitrine, d’insuffisance cardiaque et d’AVC. Les cycles courts ont augmenté le risque de 29% et les cycles longs ont augmenté le risque de 11%. Les cycles irréguliers ont été liés à d’autres facteurs de risque cardiovasculaire tels qu’une hypertension artérielle et des fluctuations hormonales présentant un risque plus élevé d’arythmie et de troubles du rythme. Les maladies cardiovasculaires restent la première cause de décès chez les femmes et il est essentiel de mieux dépister et de prévenir ces maladies.

Les cycles menstruels courts ou longs augmentent le risque de maladies cardiovasculaires de 19% selon une étude américaine. Les chercheurs ont suivi plus de 58 000 femmes pendant 12 ans et ont constaté que les cycles menstruels de moins de 21 jours ou de plus de 35 jours étaient associés à un risque accru d’infarctus, d’angine de poitrine, d’insuffisance cardiaque et d’AVC. Les cycles courts ont augmenté le risque de 29% et les cycles longs ont augmenté le risque de 11%. Les cycles irréguliers ont été liés à d’autres facteurs de risque cardiovasculaire tels qu’une hypertension artérielle et des fluctuations hormonales présentant un risque plus élevé d’arythmie et de troubles du rythme. Les maladies cardiovasculaires restent la première cause de décès chez les femmes et il est essentiel de mieux dépister et de prévenir ces maladies.

Un cycle menstruel de moins de 21 jours ou de plus de 35 jours pourrait augmenter le risque d’avoir une maladie cardio-vasculaire. Cette donnée est le résultat d’une étude américaine, que nous avons analysée pour vous.

Une étude publiée dans le Journal de l’association cardiaque américaine s’est penchée sur la relation entre la longueur du cycle menstruel et le risque de développer une maladie cardio-vasculaire.

Les femmes avec des cycles courts, de moins de 21 jours, ou longs, de plus de 35 jours, auraient un risque augmenté de 19% de développer une maladie cardio-vasculaire ou un trouble du rythme cardiaque appelé fibrillation atriale.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont suivi plus de 58 000 femmes pendant 12 ans.

Le cycle menstruel est censé durer entre 22 et 34 jours. Il reflète un fonctionnement du système hormonal. Mais une femme sur 5 a des cycles plus courts, plus longs ou d’une durée variable, ce que les médecins regroupent sous le terme de cycles irréguliers.

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D’autres études ont déjà montré que les cycles irréguliers étaient liés à certains facteurs de risques cardio-vasculaires, comme une hypertension artérielle ou un taux de mauvais cholestérol élevé. Les fluctuations hormonales du cycle menstruel présentent aussi un risque plus élevé d’arythmie et de troubles du rythme.

Devant la fréquence élevée des maladies cardio-vasculaires chez les femmes, il était essentiel d’explorer davantage cette relation.

Les chercheurs ont travaillé à partir d’une base de données britanniques, UK Biobank : 58 056 femmes, d’un âge moyen de 46 ans, et ne souffrant au départ d’aucune maladie cardio-vasculaire.
Après analyse des résultats, un cycle menstruel de moins 21 jours ou de plus de 35 jours, est associé à un risque de 19% plus élevé de maladies cardio-vasculaires que les femmes ayant un cycle régulier. Ces maladies comprennent l’infarctus l’angine de poitrine, l’insuffisance cardiaque, l’AVC etc.

Plus précisément, les cycles courts sont associés à un risque de 29% plus élevé d’affections cardiovasculaires. Quant aux cycles longs, leur risque est de 11% plus élevé. A également été constaté un risque plus élevé de fibrillation atriale, un dérèglement du rythme du cœur (38% pour les cycles courts et 30% pour les cycles longs).

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Cette étude présente toutefois des limites : l’âge des femmes est de 40 à 69 ans, ce qui signifie que les résultats ne peuvent pas être appliqués aux femmes
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