Les difficultés de recrutement dans l’enseignement en immersion en Belgique francophone.

Les difficultés de recrutement dans l’enseignement en immersion en Belgique francophone.
Le recrutement des locuteurs natifs pour l’enseignement en immersion de la Communauté française est difficile en raison de plusieurs facteurs tels que les salaires plus élevés dans le nord du pays, la distance géographique et maintenant les calendriers scolaires distincts. Entre 2018 et 2021, le nombre d’élèves intéressés par les filières immersives a pourtant augmenté de 20 %.

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Journaliste au service Société

Par Charlotte Hutin



Publié le 14/05/2023 à 16:32
Temps de lecture : 1 min

Enseignante depuis plus de dix ans dans une école en immersion, avec des enfants scolarisés dans un autre régime linguistique, je quitterai l’enseignement francophone l’an prochain.” Les inquiétudes avaient été émises dès l’annonce de la réforme des rythmes scolaires : l’enseignement en immersion pourrait-il continuer avec l’existence de divergences de calendrier scolaire entre le nord et le sud du pays ? La situation semble critique en Région bruxelloise, où un grand nombre de professeurs d’immersion sont néerlandophones. “Rien que dans mon école, nous sommes trois enseignantes à quitter l’enseignement francophone à la prochaine rentrée”, affirme Charlotte, professeure de néerlandais.


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