Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s’est rendu en Pologne pour une visite officielle qui vise à renforcer les liens entre les deux pays voisins. Cette visite intervient à un moment crucial pour l’Ukraine, car le pays continue de faire face aux défis liés à la guerre dans l’est du pays et cherche à renforcer ses relations avec ses partenaires européens. La Pologne, quant à elle, est un acteur important dans la région et s’efforce de maintenir sa position de leader régional en Europe centrale et orientale. Cette visite de Zelensky offre une occasion importante de renforcer les relations bilatérales entre l’Ukraine et la Pologne et de discuter de questions clés telles que la sécurité, l’énergie et l’intégration européenne.
Les États-Unis ont annoncé une nouvelle tranche d’aide militaire de 2,6 milliards de dollars à l’Ukraine, comprenant notamment des missiles Patriot et des munitions d’artillerie. Le président ukrainien a remercié les États-Unis pour leur “soutien indéfectible”. Les présidents français et américain ont signalé leur souhait de voir la Chine aider à “accélérer” la recherche d’une issue à la guerre en Ukraine. Mardi, la Finlande est devenue officiellement le 31ᵉ membre de l’OTAN, la Russie a déclaré qu’elle allait renforcer ses capacités militaires près de la Finlande. Le président ukrainien se rend en visite officielle à Varsovie pour discuter de questions liées à la sécurité et à la coopération économique et agricole. L’OTAN a également invité le président ukrainien à participer au sommet de l’Alliance organisé en juillet en Lituanie. Une enquête a répertorié les attaques de l’armée russe contre les civils ukrainiens depuis le 24 février 2022, révélant que 5 834 exactions sont susceptibles de constituer des crimes de guerre au regard des conventions de Genève. La directrice générale de l’UNICEF a annoncé que plus de 500 enfants étaient morts en Ukraine, mais le nombre réel est probablement beaucoup plus élevé.
Mises à jour en direct : Israël promet de répondre à l’attaque de missiles iraniens et frappe Bachoura et Beyrouth
Ora Hatan parle au téléphone dans sa maison près de la frontière israélienne avec le Liban. Ivana
