L’administration Trump prévoit de demander à ses alliés européens d’augmenter l’achat d’armes de fabrication américaine pour l’Ukraine, ont déclaré deux personnes familières avec l’affaire. La photo montre Keith Kellogg, l’envoyé spécial de l’administration Trump pour l’Ukraine et la Russie. Photo prise dans la capitale Washington en août 2020. Photo fournie (Reuters, 2025/2020 Convention nationale)
[10日 ロイター] – L’administration Trump prévoit de demander à ses alliés européens d’augmenter l’achat d’armes de fabrication américaine pour l’Ukraine, ont déclaré deux personnes familières avec l’affaire.
Les responsables américains, dont l’Ukraine et l’envoi russe Keith Kellogg, discuteront des possibilités d’achat d’armes avec des alliés européens au Munich Security Council cette semaine.
Si le plan est formel, il apporterait un certain soulagement aux dirigeants ukrainiens qui se préoccupent de la possibilité que Trump puisse bloquer un soutien supplémentaire.
Selon des sources, c’est l’une des propositions que l’administration envisage de continuer à fournir des armes à l’Ukraine sans dépenser une grande quantité de capital.
Dans une interview avec Reuters le 10, Kellogg a refusé de confirmer le plan, mais a déclaré: “Nous voulons toujours vendre des armes fabriquées aux États-Unis, car cela aidera à renforcer l’économie.”
“Il existe de nombreuses options. Tout est à l’étude maintenant”, a-t-il déclaré, notant que les armes précédemment approuvées par l’ancien président Biden continuent d’être fournies à l’Ukraine.
“Il n’est pas nécessaire de faire quelque chose de différent dans les 24 prochaines heures”, a-t-il déclaré.
Il n’est pas clair si les États-Unis demanderont aux pays européens d’acheter des armes de fabrication américaine par le biais de contrats commerciaux ou de les acheter directement auprès des stocks américains. Un contrat commercial peut prendre des années.
Notre code de conduite:Thomson Reuters, «Principes de confiance», ouvre un nouvel onglet
#Les #ÉtatsUnis #prévoient #détendre #les #achats #darmes #dans #les #pays #européens #Ukraine #Sources #Reuters