Les femmes qui choisissent de ne plus s’épiler : un geste militant ou pratique?

Ce lundi 11 septembre, Julien Bal a invité sur son plateau l’avocat Dany Spreutels, l’entrepreneuse et PDG de So blonde management Céline Aron, Michel Kacenelenbogen, directeur du théâtre “Le Public” et Jean-Marc Gheraille, Directeur d’antenne de LN24.

Au programme de l’émission, il a été question du nombre croissant de femmes qui choisissent de ne plus s’épiler, de la toute première interview en tant que politicien d’Yves Coppieters et de la visite polémique du pape à Marseille.

Céline Aron a donné son point de vue sur cette tendance croissante chez les femmes de ne plus s’épiler. Est-ce un geste militant ou un choix pratique ? Quant à Dany Spreutels, en tant qu’avocat engagé en faveur des droits des femmes, il estime que “les féministes ont déjà mené de meilleurs combats” que celui de ne pas s’épiler. Il déplore également que certaines féministes n’acceptent plus les différences. “Bientôt, on demandera aux hommes de se maquiller”, ajoute-t-il.

En ce qui concerne la première interview politique de l’épidémiologiste Yves Coppieters, nos débatteurs ont discuté de son manque de connaissances sur l’histoire de son propre parti (Les Engagés, anciennement cdH). Pour Michel Kacenelenbogen, cela ne signifie pas nécessairement un manque de compétence. “Mieux vaut une tête bien faite qu’une tête remplie de n’importe quoi ! Le fait qu’il n’ait pas pu répondre correctement aux questions historiques ne fait pas automatiquement de lui un bon dirigeant”, déclare le directeur du théâtre “Le Public”, bien qu’il s’étonne que l’ancien épidémiologiste n’ait pas été mieux préparé pour cette interview sur RTL-TVI.

Les propos du Pape François 1er lors de sa visite à Marseille samedi ont suscité la polémique. D’après Dany Spreutels, le discours du pape n’est “pas très cohérent” car “il n’y a pas la moindre idée constructive dans ce qu’il dit”.