2024-06-08 02:00:28
Les médecins ont noté dans la déclaration que la plupart des confusions de genre à l’adolescence « résoudront ces incongruences mentales après avoir vécu le processus de développement normal de la puberté ».
“Un consentement éclairé responsable n’est pas possible à la lumière des études de suivi à long terme extrêmement limitées des interventions et de la nature immature, souvent impulsive, du cerveau des adolescents”, indique la déclaration.
“Le cortex préfrontal du cerveau de l’adolescent est immature et limité dans sa capacité à élaborer des stratégies, à résoudre des problèmes et à prendre des décisions chargées d’émotions qui ont des conséquences à vie.”
Les médecins ont également souligné qu’il existe « de sérieux risques à long terme associés à l’utilisation de transitions sociales, d’inhibiteurs de la puberté, d’hormones masculinisantes ou féminisantes et d’interventions chirurgicales, dont le moindre n’est pas la stérilité potentielle ».
« La recherche médicale fondée sur des preuves démontre désormais qu’il y a peu, voire aucun bénéfice, de l’une ou de toutes les interventions suggérées d’affirmation de genre pour les adolescents souffrant de dysphorie de genre », indique la déclaration.
La déclaration ajoute que la « première ligne de traitement » devrait plutôt être la psychothérapie pour les problèmes de santé mentale sous-jacents, notamment la dépression, l’anxiété, l’autisme et les traumatismes émotionnels antérieurs.
Lorsqu’on lui a demandé ce qu’elle espérait de la déclaration, Simons a déclaré à Sabol qu’elle était « très optimiste ».
« J’ai confiance en mes collègues, pédiatres et médecins de tout le pays, que nous allons faire ce qu’il faut », a-t-elle déclaré.
“Je pense que beaucoup de gens ont peur ou n’y prêtent tout simplement pas attention, et cette déclaration vise à faire passer le message haut et fort”, a déclaré Simons. “Je reste très optimiste sur le fait que cela va changer.”
Kate Quiñones est rédactrice pour la Catholic News Agency et membre du College Fix. Elle a été publiée par le Wall Street Journal, le Denver Catholic Register et CatholicVote, et elle est diplômée du Hillsdale College. Elle vit au Colorado avec son mari.
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