La recherche présente une alternative prometteuse : les nanorobots, des nanoparticules capables de s’autopropulser dans l’organisme et de délivrer des agents thérapeutiques directement à la tumeur
Image de microscopie électronique à transmission des nanorobotsInstitut de Bioingénierie de Catalogne (IBEC)
15/01/2024
Mis à jour à 14h40
Des chercheurs dirigés par l’Institut de Bio-ingénierie de Catalogne (IBEC) et CIC biomaGUNE ont réussi à réduire de 90 % les tumeurs de la vessie chez la souris, grâce à l’utilisation de nanorobots. Ces minuscules machines, alimentées par l’urée présente dans l’urine, visent précisément…
