Les obligations appartiennent au passé, les actions continuent d’afficher le meilleur potentiel

La hausse du marché boursier l’année dernière et les attentes d’une baisse des taux d’intérêt cette année semblent inciter à réexaminer le marché obligataire balte, mais il y a aussi une préparation notable à d’éventuelles incertitudes.

Le S&P 500 a gagné environ 25 % l’année dernière. Dans le même temps, l’indice a augmenté de 14 % d’octobre à fin décembre alors que le marché entendait les premiers signes d’assouplissement monétaire de la part du président de la Réserve fédérale, Jerome Powell.

Après une croissance aussi rapide, on peut se demander si le marché sera à nouveau en mesure de plaire aux investisseurs au cours de la nouvelle année. D’une part, la baisse des taux d’intérêt y contribue. D’un autre côté, une baisse des taux d’intérêt est associée à un ralentissement de la croissance économique, ce qui peut avoir un impact négatif sur les bénéfices des entreprises et donc sur les cours boursiers.

C’est pourquoi j’ai décidé de m’intéresser au marché obligataire balte. Les obligations sont plus stables pendant les périodes d’instabilité économique car l’investisseur peut compter sur un flux de trésorerie fixe basé sur un coupon fixe, et lorsque le titre est racheté, l’émetteur restitue la totalité de la valeur nominale de l’obligation au propriétaire.