2025-02-07 20:33:00
Inactiver les virus Aviaria H5N1 en les frappant avec des ondes électromagnétiques: pour démontrer l’efficacité de la méthode, capable de réduire la charge infectieuse du virus de 94%, était un groupe de recherche coordonné par Alberto Sangiovanni Vincentellide l’Université de Californie à Berkley, avec la participation des universités de Pise et Udine et de la société italienne du groupe ELT. L’étude montre que l’exposition des particules virales présentes dans l’air aux combinaisons appropriées de fréquences électromagnétiques, avec un minimum d’exposition et d’intensité, est capable d’endommager le virus H5N1, l’agent pathogène responsable de l’influence avi Le développement de diverses épidémies dans les fermes de volaille, également en Italie.
Aux États-Unis, Aviaria a trouvé une deuxième souche du virus dans le bétail laitier
Par le personnel éditorial de la santé
Efficacité déjà testée sur le virus covide
L’efficacité de cette technologie appelée e4shield Il avait déjà été démontré sur le virus SARS-COV-2, y compris la variante KP3, et sur les virus H1N1, la tête de l’influence saisonnière, et le RSV, la tête de la bronchiolite, avec une inactivation qui se traduit par plus de 90%. Le but de la recherche est de développer des outils efficaces pour l’élimination du virus dans les systèmes de ventilation des plantes de volaille ainsi que dans les hôpitaux grâce à une technique inoffensive pour les hommes et les animaux.
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Avyria change de peau
Pendant ce temps, l’avial change de cuir et aux États-Unis aux États-Unis, à travers une nouvelle souche, un autre troupeau de bétail. Les responsables du ministère de l’Agriculture l’ont déclaré, spécifiant que “le bétail laitier du Nevada était infecté par un nouveau type d’Aviaria, différent de la version qui s’est propagée aux fermes américaines depuis l’année dernière”.
L’enquête indique que des formes distinctes du virus appelé H5N1 de type A ont été transmises des oiseaux sauvages aux bovins au moins deux fois. Et tout cela soulève une série de doutes et de questions: on se demande la façon dont le pathogène change et si grâce à cela, il peut se répandre plus largement, ce qui rend difficile le contrôle des infections chez les animaux et les personnes qui travaillent en étroite collaboration avec eux.
“J’ai toujours pensé que la transmission de l’oiseau en vache était un événement très rare. Il semble que ce ne soit pas le cas”, a-t-il dit Richard Webbyinfluencer les experts de l’hôpital de recherche de St Judren.
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En mars, la première version du virus
“Une version du virus de la grippe aviaire H5N1 connu sous le nom de B3.13 a été confirmée en mars dernier après avoir été introduite dans le bétail à la fin de 2023”, ont déclaré des scientifiques. Et il a infecté plus de 950 troupeaux dans 16 États. La nouvelle version, connue sous le nom de D11, a été confirmée dans le bétail du Nevada, selon l’USDA, et a été détectée dans le lait collecté dans le cadre d’un programme de surveillance lancé en décembre.
“Maintenant, nous savons pourquoi il est vraiment important de réaliser et de continuer à effectuer des tests”, a-t-il déclaré Angela Rasmussenexpert en virus à l’Université de la Saskatchewan, Canada, qui a aidé à identifier la première contagion.
La version D1.1 du virus était le type lié au premier décès aux États-Unis lié à l’influence aviaire et à une maladie grave au Canada. Une personne en Louisiane est décédée en janvier après avoir développé de graves symptômes respiratoires après un contact avec des oiseaux sauvages et de la cour, tandis qu’en Colombie-Britannique, une adolescente a été hospitalisée pendant des mois avec un virus attribuable à la volaille.
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Édité par Redazione Salute
Dommages aux fermes en Europe
Le virus A-H5N1 amène de nombreuses fermes de volaille en Europe et également en Italie, et les dommages économiques sont énormes. De 2003 à 2023, selon les données de l’OMS, un total de 882 cas humains d’infection par l’infection par l’influence A-H5N1 ont été signalés dans le monde par 23 pays, dont 461 décès.
Même en Italie, le virus menace plusieurs fermes. Fin janvier, il y avait dans les 18 épidémies sur le territoire italien depuis le début de l’année et 53 du début de la saison de la grippe, en octobre: 23 à Veneto, 22 en Lombardie, 6 à Emilia-Romagna, 2 en Friuli-vezia giulia.
Alors que le niveau de surveillance dans les fermes est augmenté, l’Héra, la branche opérationnelle de la Commission européenne, a signé un contrat avec la société pharmaceutique anglaise Seqirus pour la fourniture de 665 mille doses de vaccin humain contre la transmission de l’influence aviaire. Les vaccins sont destinés aux personnes les plus exposées au risque de transmission, tout d’abord, ceux qui travaillent dans des fermes de volaille et des vétérinaires, tandis que l’opportunité d’adopter un vaccin pour les animaux apparaît en ce moment où une solution complexe à mettre en scène et qui représente un “ratio Extrema”.
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par Donatella Zorzetto
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