2025-02-24 22:00:00
Une étude nie une croyance de 45 ans sur le cancer dans le règne animal, démontrant que les plus grandes espèces, telles que les éléphants et les girafes, ont des taux de cancer plus élevés que les plus petits, comme les souris ou les grenouilles. L’enquête, menée par des experts de la Université de lecture, Collège universitaire de Londres (Royaume-Uni) et le Universidad Johns Hopkins (USA), a analysé les données sur le cancer dans 263 espèces d’amphibiens, d’oiseaux, de mammifères et de reptiles. Les résultats défient le «Partoja de peto«, Ce qui a suggéré qu’il n’y avait pas de relation entre la taille d’un animal et son risque de cancer.
L’étude, qui est publiée dans ‘PNA«Il a montré que les plus grands animaux ont une prévalence plus élevée de tumeurs bénignes et malignes. Cependant, les espèces qui ont rapidement évolué pour se développer, comme les éléphants, ont développé des mécanismes de défense du cancer naturel.
Par exemple, un L’éléphant présente approximativement le même risque de cancer qu’un tigre, bien qu’il soit beaucoup plus grand. Les chercheurs ont également découvert des exceptions, telles que la perruche commune, qui a des taux de cancer beaucoup plus élevés que prévu pour la taille, et le rat de taupe nu, qui ne présente presque pas de cancer.
Carlo Maley, directeur du Centre d’évolution du cancer de l’Arizona (USA), met en évidence la relation entre l’évolution de la taille corporelle et les défenses contre le cancer, bien qu’elle suggère qu’une augmentation de la taille corporelle peut avoir besoin de temps pour qu’une défense adéquate évolue. Il souligne également que, bien que l’étude suggère que les plus grands animaux pourraient avoir plus de cancer, la relation n’est pas aussi forte que prévu.
Frédéric Thomas et Antoine Dujon, CNRSils considèrent que l’étude offre une analyse précieuse, bien qu’ils reconnaissent que les élections statistiques et l’hétérogénéité des données peuvent affecter l’interprétation. En général, ils croient que la recherche sur la relation entre la taille du corps et le cancer est prometteuse, mais qu’il est nécessaire de continuer à explorer les mécanismes moléculaires sous-jacents.
Bref, bien que l’étude soutient le relation entre la taille du corps Et la prévalence du cancer, davantage d’études et d’analyses sont nécessaires pour valider les résultats et comprendre les mécanismes évolutifs de la défense contre le cancer.
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