Le travail à temps partiel est de plus en plus populaire. Ce choix n’est plus seulement fait par les mères, mais aussi par la nouvelle génération qui ne souhaite pas travailler à temps plein, même avant d’avoir des enfants. Cependant, le travail à temps partiel a un impact significatif sur la retraite.
Lorsque l’on choisit de réduire son taux d’activité, on pense souvent principalement au salaire. Cependant, il y a d’autres facteurs à prendre en compte, comme le démontre une étude d’UBS publiée jeudi.
Impact sur le 2e pilier
Une personne travaillant à temps partiel court le risque de ne pas pouvoir bénéficier de la même progression salariale qu’un employé à temps plein, selon les économistes d’UBS, en raison du manque d’opportunités de promotion.
Il faut également prendre en compte les répercussions sur le 2e pilier, rappelle Michèle Mottu Stella, experte en prévoyance professionnelle chez Prevanto.
“Femmes désavantagées”
Michèle Mottu Stella précise également qu’à long terme, ce sont encore et toujours les femmes qui souffrent de ces inconvénients, car le système suisse est “assez traditionnel”.
Ces écarts de retraites peuvent donc être conséquents au final, allant parfois jusqu’à 20’000 francs de différence par an.
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