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Les scientifiques demandent au gouvernement de subventionner la majeure partie du rachat des cotisations à la retraite | Économie

by Nouvelles
Les scientifiques demandent au gouvernement de subventionner la majeure partie du rachat des cotisations à la retraite |  Économie

2024-05-17 18:53:27

Le ministère de la Sécurité sociale a reçu ce vendredi la communauté scientifique, très mécontente du projet du département qui permet d’additionner jusqu’à cinq années de stages non répertoriés pour calculer la retraite en payant environ 290 euros par mois. Ces professionnels n’aiment pas cette approche en raison de leurs très longues périodes de stage, qui avec l’approche actuelle peuvent se traduire par des indemnités allant jusqu’à 17 000 euros. Pour cette raison, ils ont présenté plusieurs plaintes au ministère, parmi lesquelles figurent le fait de considérer la base de cotisation qui correspondait à l’époque (au lieu de 2024, ce qui augmente le prix) et que le scientifique assume uniquement la part qui correspond au travailleur, pour que la Sécurité Sociale subventionne ce qui aurait été dû à l’entreprise.

Dans circonstances normales, la part professionnelle des cotisations est la plus élevée, 23,6% de l’assiette réglementaire (semblable au salaire brut annuel) pour les éventualités communes, tandis que le travailleur paie encore 4,7%. Les scientifiques demandent que la Sécurité sociale paie la part de l’entreprise et qu’elle prenne en charge la part des salariés. Cependant, les accords particuliers (comme celui articulé pour cet achat d’annonce) fonctionnent d’une autre manière : puisqu’il s’agit d’un achat à la suite, La sécurité sociale ne différencie pas par concepts. Quoi qu’il en soit, les scientifiques s’attendent à ce que l’État assume une part bien plus importante que ce que prévoit désormais l’arrêté ministériel.

Cela a été l’un des points qui a suscité le plus de discussions lors de la réunion, selon l’une des participantes, Marisol Soengas, présidente de la Association espagnole de recherche sur le cancer. “Le ministère insiste sur le fait que cela aurait un coût très important pour l’Etat, mais pour nous ce n’est pas acceptable de devoir payer jusqu’à 17.000 euros.” L’autre point important, qui semble plus simple à mettre en œuvre, est que l’assiette minimale applicable est celle de l’année au cours de laquelle le stage a été réalisé et non celle de 2024.

« Le ministère a reconnu que l’arrêté ministériel comportait plusieurs erreurs et qu’il devait introduire des mesures pour répondre à nos demandes. Ce qu’ils ne nous ont pas dit, c’est comment ils vont procéder », déclare Soengas. Comme il l’explique, la refonte du texte sera d’abord portée à la table du dialogue avec les syndicats et le patronat, qui se réuniront à nouveau lundi prochain.

« Volonté d’écouter »

« Dans l’ensemble, les associations de recherche apprécient l’écoute du secrétaire d’État. [Borja Suárez] et ils espèrent que les mesures qui seront introduites résoudront une injustice historique dans leurs conditions de travail », indique la communauté scientifique dans un communiqué. Dans le même texte, ils demandent de « récupérer les droits du travail pour toute la période travaillée avec des bourses de recherche qui n’ont pas cotisé à la Sécurité sociale ».

Pour sa part, après la réunion, le département dirigé par Elma Saiz a déclaré avoir écouté les observations du groupe et lui avoir exprimé “l’engagement de porter cette question à la table du dialogue social pour examen”.

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