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Alors, voici la question : seront-ils bons ? Les Wallabies, bien sûr. Joe Schmidt, le dernier Néo-Zélandais à avoir franchi le fossé, est le pauvre homme chargé de rassembler une équipe digne d’accueillir les Lions britanniques et irlandais. S’il échoue, les retombées seront toxiques. Le code de l’Union a désespérément besoin que les Wallabies redécouvrent la meilleure version d’eux-mêmes – quelque chose qui a disparu en 2016 et ne montre aucun signe d’émerger de sa cachette. C’est très inquiétant pour deux raisons. Une deuxième série de Lions sans pétards d’affilée – pour rappel…