L’Espagne bat la Géorgie et affronte l’Allemagne en quarts de finale

Der Überraschungscoup ist der georgischen Nationalmannschaft nicht gelungen in der Achtelfinal-Partie gegen die Spanier, die sich während der Gruppenphase in den Status des großen Turnierfavoriten hineingespielt haben. Aber einen Teil ihres Schreckens hat die Mannschaft von Trainer Luis de la Fuente schon verloren während des lange Zeit mühsamen 4:1-Siegs gegen den Außenseiter vom Schwarzen Meer, der alles andere war als ein entspannter EM-Sonntagsspaziergang.

Die Spiel-Analysten von Bundestrainer Julian Nagelsmann haben in Köln schönes Anschauungsmaterial zur Konteranfälligkeit der Spanier sammeln können für das Viertelfinalduell der DFB-Elf am Freitag (18.00 Uhr im F.A.Z.-Liveticker zur Fußball-EM und in der ARD). Und besonders effizient vor dem Tor sind die Passkünstler aus dem Südwesten Europas auch nicht wirklich. Erst ganz am Ende, als die Georgier wussten, dass ihre schöne Reise durch dieses Turnier zu Ende gehen würde, brach der Widerstand – und das Ergebnis wurde eindeutig.

Der Sieg war fraglos verdient, Spanien war das bessere Team, besonders zu Beginn und in der Schlussphase. Nach einer Viertelstunde hatten die Statistiker einen spektakulären Ballbesitzanteil von 90 Prozent ermittelt, die Georgier hatten gerade einmal 19 Pässe gespielt. Alles deutete auf eine sehr eindeutige Angelegenheit hin, und die Spanier trafen auch, allerdings ins eigene Tor. Der erste georgische Angriff über die rechte Seite endete mit einem von Otar Kababadze scharf geschlagenen Ball in den Strafraum, der vom Rumpf des Verteidigers Robin Le Normand über die Linie sprang (18. Minute).

Das war ein Wirkungstreffer, der offenlegte, dass die Spanier vielleicht die besten Spieler haben, wie de la Fuente nach dem Sieg gegen Italien sagte, aber die mental stabilste Mannschaft des Turniers ist der Weltmeister von 2010 eher nicht. Plötzlich zeigte sich eine erstaunliche Anfälligkeit bei schnellen Gegenangriffen, und das Herausspielen klarer Chancen war den Spaniern auch schon in den dominanten Gruppenspielen nicht immer leichtgefallen. Und nun hatte de la Fuente auch noch im dritten Gruppenspiel, als es um nichts mehr ging für sein Team, eine Art B-Elf nominiert, was auch ein gewisses Risiko barg.

Ce n’aurait pas été la première fois qu’une équipe d’un tournoi perdait son rythme après une telle mesure. L’équipe d’Italie a joué à nouveau en huitièmes de finale, restant supérieure même après avoir été menée et avoir eu beaucoup de possession. Les Espagnols ont été repoussés à plusieurs reprises par le gardien géorgien encore une fois fort Giorgi Mamardashvili, mais ils ont finalement obtenu une égalisation méritée lorsque Rodri a finalement trouvé un écart et a tiré depuis l’entrée de la surface de réparation pour porter le score à 1-1 (39e).

Ce n’est probablement pas un hasard si le capitaine expérimenté est apparu dans cette situation, car les jeunes stars Lamine Yamal et Nico Williams, si célébrées récemment, n’ont pas eu autant d’influence dans cette phase de retard que dans les matchs de groupe. Yamal était à peine visible avant la pause, Williams a eu ses moments, mais ils n’ont servi à rien. La susceptibilité aux contre-attaques est généralement une faiblesse de cette équipe.

Peu après la pause, après avoir récupéré le ballon, Chwitscha Kwarazchelia a eu la bonne idée de tirer simplement sur le but des Espagnols à 50 mètres car le gardien Unai Simon était loin sur le terrain. Mais le ballon a raté de peu le but. Et même lorsque les Espagnols ont pris l’avantage après un centre de Yamal, toujours en amélioration, que Fabian a dirigé de la tête pour porter le score à 2-1 (51e), les Géorgiens sont restés dangereux avec des avances rapides, mais ils n’ont pas fini avec le but. le calme nécessaire a joué. La volonté de s’affirmer des Géorgiens n’a été brisée que lorsque Williams a complété une course remarquable avec un tir sous la barre transversale pour porter le score à 3-1 (75e), que Dani Olmo a ensuite enchaîné pour porter le score à 4-1 (83e). .

« Tout s’est très bien passé, nous sommes très heureux d’être en quarts de finale. Il faut continuer comme ça. Nous avons commis cette erreur, un but contre notre camp, mais nous avons bien récupéré”, a expliqué le buteur Williams, qui a ajouté à propos du match contre l’Allemagne : “Ce sera certainement un match difficile. Mais nous devons nous concentrer sur nous-mêmes, nous avons une équipe formidable.” Et le professionnel de la Bundesliga de Leipzig, Dani Olmo, a déclaré après les huitièmes de finale : “C’est très excitant de jouer contre l’équipe locale. Ce sera un défi très spécial pour moi.

Le miracle géorgien ne s’est pas produit et l’équipe de l’entraîneur Willy Sagnol doit rentrer chez elle. Cependant, les joueurs seront accueillis en héros à Tbilissi, où les habitants ont vécu un été remarquable en Championnat d’Europe. Atteindre les huitièmes de finale était déjà une petite sensation, et maintenant ils rêvent de nouvelles aventures sur la scène internationale. Même avant le tournoi, le président de l’association, Levan Kobiashvili, avait déclaré que le prochain grand objectif était de participer à un championnat du monde. Au vu des impressions de ce Championnat d’Europe, cela est tout sauf une utopie.