La Chambre des Députés de Buenos Aires a donné sa demi-approbation au projet exécutif de création d’un Laboratoire de Médicaments sous la forme d’une Entreprise d’État, lors de la première des deux sessions extraordinaires qu’elle réalisera pour aborder certains des projets les plus importants de l’année. .
La réunion, qui a reporté au jeudi 19 prochain le changement d’autorité (le Massista Alexis Guerrera remplacera Alejandro Dichiara, élevé grâce à un accord entre Máximo Kirchner et Martín Insaurralde, autrefois référence dans le secteur des maires), a permis au PRO de changer autorités. Ainsi, le ritondosta Matías Ranzini remplacera l’actuel propriétaire de l’espace, le Santillista Agustín Forchieri.
La traditionnelle rotation des sièges entre secteurs de gauche a également eu lieu, par laquelle Guillermo Kane laissera le siège à Guillermo Pacagnini, ancien président de la Cicop.
Le nouveau député du Front de Gauche, Guillermo Pacagnini.
Après l’investiture du Front de Gauche contesté, les députés ont approuvé le renouvellement de la licence de Federico Otermin, actuel maire de Lomas de Zamora, de Mariano Cascallares, maire d’Almirante Brown, et de la chef de cabinet de la municipalité d’Olavarría, Mercedes Landivar. Ils ont également rendu un vibrant hommage à l’ancien représentant national Héctor Recalde.
Outre le parti au pouvoir, l’initiative qui a créé le Laboratoire a eu le soutien des blocs Union, Rénovation et Foi, également appelés « dialogue » libertaire, et de l’espace radical référencé dans Facundo Manes et Martín Lousteau, commandé par Claudio Frangul de La Plata, à l’exception du président du bloc et de Nazarena Mesias, absents du vote. Viviana Dirolli a voté contre.
En revanche, les blocs UCR-Cambio Federal, La Libertad Avanza et PRO ont voté contre, tandis que les deux uniblocs du trotskysme se sont abstenus.
La nouvelle organisation vise à garantir l’approvisionnement en médicaments, vaccins, fournitures, produits médicaux, principes pharmaceutiques actifs, et à établir des normes primaires et secondaires pour le contrôle de la qualité de la production.
Selon le projet, l’entreprise contribuera à éviter les surprix appliqués par les laboratoires privés lorsqu’ils disposent d’un monopole de production ou d’une marque distinctive, ce qui se traduira par une baisse des prix pour les utilisateurs.
L’initiative garantit également l’accès aux traitements sans qu’aucun citoyen ne soit exclu en raison de ressources économiques limitées.
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