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Licenciements, arrestations et répression à l’INTI – La Tribu Noticias

Trabajadorxs del Instituto Nacional de Tecnología Industrial (INTI) se manifestaron frente a la puerta de la institución para reclamar por la renovación de 282 contratos que fueron finalizados por el gobierno nacional, la protesta fue brutalmente reprimida y dos trabajadores fueron detenidos por la Policía de la Ville.

Vendredi après-midi, des courriers électroniques ont commencé à arriver aux salariés de différents services de l’État national, les informant que “leur contrat ne sera pas renouvelé” et qu’ils devraient “retirer vos affaires le lundi 1er juillet”. Le même jour, plus de 300 licenciements ont été annoncés dans le secteur du capital humain, la suppression de l’ancien ministère de la Femme, du Genre et de la Diversité et les 282 licenciements à l’Institut national de technologie industrielle (INTI).

Gisèle Santanafait partie du groupe Grenades INTIdit que “L’intention était de tenir une assemblée à la porte de l’organisation et nous avons constaté une vaste opération de la police de la ville de Buenos Aires, qui nous a directement réprimés à la porte de l’institut. Il n’y a pas eu de coupe collector, rien. Les compagnons ont été détenus de manière totalement illégale et arbitraire ; le responsable de l’opération les avait appelés pour parler et c’est dans ce contexte qu’ils ont été détenus.«.

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Santana Il a évoqué les licenciements chez INTI et la manière dont ils affectent le fonctionnement de l’institution.

«La seule communication que les gens avaient était le non-renouvellement des contrats. Il n’y a eu aucune communication par courrier électronique concernant les licenciements, les autorités ont simplement le sentiment que le contrat est terminé et n’ont pas à donner d’explications.. Avec un tel nombre de licenciements, il est impossible pour l’INTI de continuer à fonctionner comme elle l’a fait jusqu’à présent.«.

«La Loi de base a fourni le cadre juridique permettant de démanteler l’emploi public. Même ceux d’entre nous qui ont un emploi permanent peuvent être rapidement mis à disposition, ce qui constitue le point final de l’emploi public. Désormais, il n’y a plus aucune garantie, ils étaient dotés des outils nécessaires pour faire ce que le président avait annoncé : détruire l’État de l’intérieur.“, il a fini Santana.

Production : ce qui manque

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Photo: @Marita_Costa

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