Ligue Europa, Séville-Roma termine 5-2 aux tirs au but. Mais l’avenir de Giallorossi commence à partir d’ici

Ligue Europa, Séville-Roma termine 5-2 aux tirs au but.  Mais l’avenir de Giallorossi commence à partir d’ici

2023-06-01 10:48:07

BUDAPEST – Une coupe s’est évanouie aux tirs au but. Encore eux, les maudits penaltys, comme avec Liverpool, ce soir de mai 1984, à l’Olimpico, et puis c’était la Champions Cup. Et pourtant cette fois de onze mètres pour la Roma dans un certain sens c’est encore une fois la “Coupe des Grandes Oreilles” qui s’envole, car sur la pelouse de la Puskas Arena nous avons aussi la qualification pour la prochaine Ligue des Champions, qui aurait vraiment été la tournant (pour le prestige et les revenus) que le club et José Mourinho visaient. Et puis la double moquerie multiplie amertume et regrets, et ouvre plus d’une interrogation sur l’avenir des Giallorossi.

Doublé européen

Bien sûr, il faut dire que Special One a remis les Giallorossi “au centre du village européen” (expression chère à un autre ex-entraîneur de la Roma, le Français Rudi Garcia), grâce aux deux finales continentales consécutives, la Conférence celui remporté à Tirana l’an dernier contre Feyenoord, et celui de la Ligue Europa contre Séville. Un héritage de crédibilité qui valorise la “marque” Roma bien au-delà des près de 20 millions d’euros récoltés par le club lors du parcours en deuxième compétition continentale. Cependant, il est évident que – comme souligné à plusieurs reprises – la disproportion par rapport à la Ligue des champions est considérable (on parle d’un jackpot qui en 2021/22 était de 465 millions, à comparer aux 2,02 milliards de la Coupe que l’Inter et Manchester City auront jouer le 10 juin à Istanbul).

Finale de la Ligue Europa, la défaite de Rome

Galerie de photos21 photos

Voir

Et sans oublier que le KO à Budapest empêche aussi la Roma de disputer la Supercoupe d’Europe, autre vitrine non anodine. Des chiffres et des réflexions qui augmentent l’amertume pour le but contre son camp de Mancini, la barre transversale de Smalling, les fautes du point de penalty de Mancini et Ibanez lui-même, les récriminations pour les incertitudes de l’arbitre Taylor (contre qui Mourinho lui-même a eu un gros coup de gueule dans le ventre de la Puskas Arena , Après le match).

Comment redémarrer

Le cœur de cette Rome, la Rome des Friedkins et Thiago Pinto, le directeur général de plus en plus en collision avec José Mourinho, est encore plus après la nuit à Budapest, précisément le Special One. Centralisateur, hédoniste, doté d’un ego démesuré, mais toujours capable de donner une identité reconnue à l’équipe, qui reconnaît en lui son démiurge, tout comme les Roms ont trouvé leur leader dans les Portugais.

En savoir plus

Prévisible, visa la carrière et le statut de Mourinho ; mais c’est justement maintenant que le club – lancé de manière toujours plus décisive vers la construction du nouveau stade de sa propre propriété dans la région de Pietralata – devra démontrer qu’il sait se structurer de manière plus large et plus complexe , sortant en quelque sorte de cette hégémonie Mourinhana qui est une ressource, mais à la longue aussi une limite.



#Ligue #Europa #SévilleRoma #termine #aux #tirs #Mais #lavenir #Giallorossi #commence #partir #dici
1685617253

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.